Attendez, je pensais que ça s’était déjà produit ?
J’ai l’impression que je tourne en rond dans un DeLorean pour me retrouver dans un épisode non diffusé de Doctor Who. Que se passe-t-il ici ? Je suis encore dans un cauchemar collectif, ou Brendon Urie est en train de suivre les traces de l’histoire avec des rebondissements qui semblent durer une éternité ? Je me disais pourtant que sa carrière de superstar touchait à sa fin, mais voilà que les chansons pop sans âme sont de retour. Pourquoi ? Parce que ce cher Brendon et sa bande ont décidé de sortir un nouvel album, comme si nous avions demandé un autre coup de feu dans notre cœur déjà meurtri !
Si vous étiez un enfant des années 2000, Brendon Urie était un nom que vous connaissiez. Sa bande, Panic ! At The Disco, avait pris d’assaut les charts et a en quelque sorte vécu de la notoriété de cette époque dorée. Pendant ce temps, Urie a réussi à se transformer en une pop star du radio moderne (pensez à Adam Levine, mais moins séduisant), tout en laissant derrière lui une traînée de controverses et d’allégations comme un traîneau de Noël abandonné. Je sais, je sais, c’est qui qui décide d’accuser des gens d’une série de scandales horribles ? Spoiler alert : c’est généralement la vie.
Qui est donc Brendon Urie ?
Alors, qui est ce gars ? Brendon Urie n’est pas seulement le surhomme derrière des chansons comme « I Write Sins Not Tragedies ». Non, il est également connu pour son talent à se retrouver au cœur de controverses embarrassantes. Au-delà de la musique, Urie a été marié à Sarah depuis 2013, rencontrée lors d’un de ses concerts, ce qui témoigne d’un goût pour les drames publics dès le départ. En plus, ce bonhomme se définit comme pansexuel. Cela dit, il semble que tout le monde ait eu droit à son « charme », pour le meilleur et pour le pire. Mettez de côté les violons, l’ironie est à son comble.
Ceci dit, malgré son statut d’icône LGBTQ+, Urie a été accusé de faire des blagues douteuses à l’encontre de la communauté. Bien joué, Brendon, bien joué. Comme si ce n’était pas assez qu’il ait été honoré du « Inspiration Award » de GLSEN pour son advocacy des jeunes LGBTQ+. Avec ce nouvel album « Viva Las Vengeance », qui pourrait aussi être nommé « Pourquoi ce groupe ne peut pas mourir ? », les réseaux sociaux se battent pour faire entendre leur mécontentement.
Qu’est-ce qui se passe cette fois-ci ?
Cette fois, l’explosion de controverses refait surface, et les gens se posent des questions. Pourquoi ? Eh bien, le contexte remonte à l’accusation initiale lancée en 2020 contre le garde du corps de la bande qui a entraîné une série de accusations contre Urie. Comme quoi, les choses n’ont jamais été vraiment résolues. Les utilisateurs de Twitter, parfois plus agiles qu’un ninja avec un mot de passe, ont appelé Urie à la barre des accusés, alors que l’absence de son intervention ne faisait qu’exacerber les opinions.
Les accusations se sont enflées comme un soufflé raté. Des utilisateurs anonymes ont fait des déclarations accablantes, parlant d’incidents malsains avec des fans encore mineurs. « J’étais mineur et il a essayé de me toucher ». Quand un homme de 35 ans dit à ses fans « si je vous vois après le concert, je vais vous baiser » – eh bien, j’espère que quelqu’un a averti la société de garde d’enfants, parce qu’un petit peu de bon sens socratique serait le bienvenu ici.
Un comportement inacceptable ?
Bien sûr, nous croyons tous à la rédemption, mais Urie a apparemment décidé que le scénario de la rédemption n’était pas écrit pour lui. Face à des critiques croissantes, il n’a pas pu s’empêcher de blesser encore plus son image lorsqu’il a sorti des commentaires racistes. Un concert où il a confié qu’il « aurait aimé être noir pour pouvoir porter des vêtements sans se faire moquer »? Qu’est-ce qu’il foutra au juste ? Suivons le guide !
Des vidéos de concerts aux mots malheureux répétés sur Vine, la réputation de Brendon prend un coup dans l’aile. Récemment, des plaintes concernant ses propos transphobes sont également apparues, soulevant des questions sur sa conscience sociale, ou plutôt, son absence de conscience. Apparemment, dire qu’il souhaite être de telle manière pour éviter les moqueries ne passe pas toujours bien avec des gens qui ont une certaine sensibilité.
Et que pense Twitter de tout ça ?
Quand Twitter s’ennuie, il déchaîne l’enfer et Brendon Urie est devenus la cible. Au lieu de demander des excuses, ces utilisateurs de réseaux sociaux ont commencé à le bloquer. Avec son nom en tête des tendances, les utilisateurs ont pris leurs dispositions avec la vengeance et l’impatience concernant les justifications qui n’arrivent jamais. De toutes les leçons à tirer, une se démarque : si vous allez vous exprimer sur scène, soyez prêt à en payer le prix. La tempête se prépare, et il se pourrait que « Viva Las Vengeance » soit l’album le plus mal reçu depuis la dernière tentative artistique d’un ex-héros du football.
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Conclusion : L’ironie au cœur des allégations
Brendon Urie continue d’incarner une figure contradictoire de la discographie moderne, oscillant entre la vague d’accusations percutantes et un public qui peine à pardonner. Avec chaque nouvel album qui voit le jour, il semble attirer les foudres du jugement public comme un aimant à problèmes. Est-ce que ce sera suffisant pour causer sa chute ? À l’ère numérique, on ne peut pas vraiment être sûr. Mais dans le monde d’aujourd’hui, les polémiques sont souvent de courtes durées. Alors, attendons voir leur prochaine tournée. Ironique, n’est-ce pas ? Espérons juste que les éclats de voix ne s’intensifient pas au niveau du strident.
(Image présentée : Theo Wargo/Getty Images for MTV/Paramount Global)
Et voilà, vous êtes maintenant armés de toutes les informations nécessaires sur les allégations, controverses et accusations entourant Brendon Urie. Restez à l’écoute, car, comme nous l’avons découvert, dans le monde des célébrités, les horreurs ne sont jamais très loin. Mais au moins, on a toujours du bon vieux rock à écouter, n’est-ce pas ?
