🍿 2022-07-02 16:01:15 – Paris/France.
De l’apocalypse pleine d’espoir de Miyazaki à la satire qui pourrait arriver demain de ‘The Purge’, en passant par le symbolique et inquiétant ‘The hole’. Les avenirs que nous présentent les trois films cette semaine ne sont pas exactement les plus prometteurs, mais au moins nous pouvons nous adonner à ces grands morceaux d’aventure, d’horreur et de suspense et nous réconforter dans l’inévitable.
Nausicaä de la Vallée du Vent
Bien que les films du Studio Ghibli soient tous merveilleux, ils ne plongent jamais dans la science-fiction la plus pure. Mais lorsqu’ils flirtent avec le genre, ils introduisent des éléments de fantasy et d’aventure très rafraîchissants. En fait, ‘Nausicaä’ n’est pas de Ghibli, mais plutôt le dernier réalisé par Miyazaki avant de la fonder, mais son style est tellement celui de l’entreprise qu’il est officieusement considéré comme faisant partie de celle-ci. Avec une délicieuse esthétique des années 80, il nous emmène dans un monde post-apocalyptique d’insectes géants où les humains se déplacent avec des inventions steampunk.
Le trou
C’était l’une des grandes surprises de 2020 sur la plateforme, et la vérité est qu’elle n’a pas perdu un iota de force. Sa splendide métaphore sur la lutte des classes n’a pas vieilli et, avec une pandémie entre les deux, on peut même dire que ses idées sur la façon dont nous ne sortons pas exactement de situations extrêmes sont renforcées. L’idée que des gens se battent pour les restes de nourriture laissés par ceux du niveau supérieur est une métaphore incroyable qui ressemble presque à une fléchette anti-méritocratique. C’est à quel point ce joyau espagnol qui a balayé Sitges est combatif et pointu
La purge. La nuit des bêtes
La saga « The Purge » a évolué à son rythme avec des livraisons allant de la réflexion allégorique sur les coupes dans les libertés à des propositions d’action pures qui ressemblaient à des bandes dessinées « The Punisher ». Le premier volet flirte avec le style alors en vogue des violation de domicilemais son fond ouvertement critique est là, tout comme son point de départ très puissant : dans un futur proche, une nuit par an tous les crimes sont pardonnés, ce qui fait que les plus aisés se réfugient dans des maisons qui sont d’authentiques forces.
SOURCE : Reviews News
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