The Cry Babies Factory triomphe sur Netflix

The Cry Babies Factory triomphe sur Netflix - La Vanguardia

🍿 2022-05-21 00:00:00 – Paris/France.

La firme de jouets IMC Toys est en passe d’atteindre une renommĂ©e mondiale grĂące Ă  ses populaires poupĂ©es Cry Babies. AprĂšs sept ans de distribution dans les magasins et entrepĂŽts du monde entier, IMC a conclu cette annĂ©e un accord avec Netflix pour la diffusion d’une sĂ©rie de sa propre crĂ©ation mettant en vedette ses poupĂ©es.

« Nous avons crĂ©Ă© le contenu en 2018 et nous avons commencĂ© Ă  le diffuser via YouTube et notre propre chaĂźne. C’est au dĂ©but de cette annĂ©e que nous avons conclu l’accord de licence avec Netflix. Au cours des trois prochaines annĂ©es, la sĂ©rie pourra ĂȘtre visionnĂ©e Ă  l’international », explique la directrice financiĂšre, Carolina GonzĂĄlez, qui prĂ©cise que l’accord n’est pas exclusif et que la sociĂ©tĂ© continuera Ă  la diffuser seule.

NĂ©e en 1981, l’entreprise facture 150 millions et emploie 375 personnes avec des jouets et des contenus audiovisuels

L’entreprise, nĂ©e en 1981 Ă  Terrassa, est tĂ©moin des mutations de l’industrie du jouet et du divertissement pour enfants. FondĂ©e par 15 entrepreneurs de jouets – Antoni Bellido, Jacob Levy, TomĂ s BarberĂ , Josep Moñux et Josep Porta, entre autres – IMC a dĂ©butĂ© sur le marchĂ© avec la distribution de jouets sous les marques Nikko et Meccano. Au dĂ©but des annĂ©es 2000, il dĂ©cide d’étoffer son catalogue avec son propre design de poupĂ©es inspirĂ©es du cinĂ©ma et plus tard, de sa propre crĂ©ation (dont les Cry Babies). En outre, il est Ă©galement entrĂ© dans la catĂ©gorie des jeux de sociĂ©tĂ© et des peluches, dĂ©passant actuellement les 400 rĂ©fĂ©rences.

Le modĂšle Ă©conomique a toujours Ă©tĂ© basĂ© sur la conception locale et la production externalisĂ©e en Asie, principalement dans des usines en Chine mais aussi en Inde et au Vietnam. La grande majoritĂ© de ses clients – 80 % – se trouvent Ă  l’étranger, principalement aux États-Unis, oĂč elle a ouvert une dĂ©lĂ©gation en 2017, et dans 60 autres pays, parmi lesquels se distinguent l’Italie et la France. En 2021, l’entreprise a facturĂ© 150 millions d’euros et obtenu un Ebitda (marge brute) de 9 millions d’euros. « Cette annĂ©e, nous voulons atteindre 180 millions grĂące Ă  l’attraction des ventes aux États-Unis. C’est un trĂšs grand marchĂ© et nous travaillons pour des entreprises comme Amazon, Walmart ou Target », explique GonzĂĄlez.

MalgrĂ© l’irruption du secteur de l’audiovisuel en ligne, le cƓur de mĂ©tier de l’entreprise reste la crĂ©ation et la vente de jouets traditionnels, principalement de sa propre conception. Une Ă©quipe de 375 personnes – qui atteindra les 400 d’ici la fin de l’annĂ©e – se consacre au bon fonctionnement des engins.

La propriĂ©tĂ© reste entre les mains des partenaires fondateurs et d’autres administrateurs, dont le PDG Albert Ventura, qui reste fidĂšle au modĂšle qui a amenĂ© IMC au sommet du divertissement mondial.

SOURCE : Reviews News

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