Télévision : des réseaux au streaming, les changements de visionnage aprÚs 39 ans sont stupéfiants

Télévision : des réseaux au streaming, les changements de visionnage aprÚs 39 ans sont stupéfiants - The Delaware County Daily Times

😍 2022-08-28 17:01:45 – Paris/France.

Avec la chronique de cette semaine, je cĂ©lĂšbre 39 ans d’écriture sur la tĂ©lĂ©vision pour le Daily Times et maintenant ses journaux connexes.

La tĂ©lĂ©vision a tellement changĂ© depuis que Stu Rose m’a embauchĂ© pour Ă©crire Ă  ce sujet, et Trisha Cofiell a affinĂ© la myriade de sujets que je voulais aborder dans une chronique cohĂ©rente.

Je peux entrer dans les dĂ©tails de la diffĂ©rence Ă©tonnante entre la tĂ©lĂ©vision d’aujourd’hui et celle de 1983, ou mĂȘme de 1977, lorsque j’ai Ă©crit ma premiĂšre chronique tĂ©lĂ©visĂ©e quotidienne pour l’ancien Philadelphia Journal.

Au lieu de cela, je vais frapper sur les faits saillants.

Le principal changement est de passer d’un monde Ă  trois ou sept canaux Ă  un monde aux possibilitĂ©s apparemment infinies. Il y a 39 ans, lors d’une conversation sur les cotes d’écoute avec Wally Kennedy et Marilyn Phister, la croissance et le potentiel du cĂąble, et mĂȘme des jeux informatiques, ont Ă©tĂ© discutĂ©s comme une menace dĂ©sormais sĂ©rieuse pour la domination du systĂšme de rĂ©seau traditionnel.

Bébé, regarde le cùble maintenant. Et en Streaming. Et des podcasts. Et chacun ayant sa propre émission sur sa propre plateforme.
Les effets de « All in the Family » de Norman Lear et de « Mary Tyler Moore Show » de Grant Tinker sont restĂ©s rĂ©pandus en 1983. Il en Ă©tait de mĂȘme de la bĂȘtise de « Happy Days » et de ses retombĂ©es.

Un grand changement a Ă©tĂ© dans les talk-shows. Phil Donahue a modifiĂ© la formule des visites de cĂ©lĂ©britĂ©s et des lieux de cuisson pour examiner les problĂšmes et les problĂšmes de sociĂ©tĂ© sous-jacents. Je pense que ce que Donahue a commencĂ© est allĂ© trop loin, mais c’est une histoire pour un autre jour.

Des drames comme « Hill Street Blues » ont ouvert la voie Ă  « The Wire » et Ă  l’excellent travail commencĂ© par HBO et Ă  Netflix et Ă  d’autres rĂ©seaux. (Cela ne veut pas dire que je ne me glorifie pas dans les rediffusions de « Perry Mason ».)

Ce que j’aime le plus dans l’avancĂ©e de la tĂ©lĂ©vision, c’est la grande variĂ©tĂ©, mĂȘme si elle s’accompagne de dilution, de mĂ©diocritĂ© et de Real Housewives. Ce qui me manque le plus, ce sont les Ă©missions de variĂ©tĂ©s du type Garry Moore et Carol Burnett.

Ce que je dĂ©plore le plus, c’est l’effondrement des informations tĂ©lĂ©visĂ©es d’un sommet prĂ©sidĂ© par Walter Cronkite, Peter Jennings, David Brinkley et Tim Russert Ă  une Ă©mission secondaire partisane et potins Ă  laquelle vous ne pouvez pas faire confiance.

Ce que j’ai le plus apprĂ©ciĂ©, c’est la latitude qui m’a Ă©tĂ© donnĂ©e pour Ă©crire sur tout ce qui touche Ă  la tĂ©lĂ©vision.

Il y a eu de nombreux moments de fiertĂ©, mon prĂ©fĂ©rĂ© Ă©tant lorsque j’ai rĂ©vĂ©lĂ© ce qui se passerait sur « Dallas » une semaine avant la diffusion de l’épisode qui Ă©tait si secret.

Merci d’avoir Ă©tĂ© lĂ  pour lire les journaux tout ce temps. Ecrire pour vous est un bonheur.

Bryant obtient la premiĂšre place du WRTI

AprĂšs quelques excellents remplacements de Josh Jackson, Mme Blue, Bob Craig et d’autres, WRTI (90,1 FM) a donnĂ© sa premiĂšre place critique au jazz de 18 h Ă  21 h Ă  Greg Bryant, qui a une expĂ©rience variĂ©e et vient Ă  ‘ RTI de faire du jazz du jour au lendemain et un podcast louĂ© Ă  Newark. New Jersey

Bryant remplace Bob Perkins, animateur de jazz de longue date en dĂ©but de soirĂ©e, qui a pris sa retraite de son concert quotidien Ă  la fin du mois de juin, mais on peut l’entendre faire son Ă©mission «Sunday Morning Breakfast» sur – quand d’autre? – Les dimanches.

Bryant a une vaste expĂ©rience du jazz et de la musique en gĂ©nĂ©ral, en tant que personnalitĂ© de la radio, connaisseur de l’enregistrement et interprĂšte.
Il a rĂ©pondu trĂšs tĂŽt Ă  ses appels de diffusion et de performance, commençant les deux carriĂšres Ă  l’adolescence dans sa ville natale de Nashville.

L’écoute des disques de ses parents a incitĂ© Bryant Ă  s’intĂ©resser au jazz. Leur collection comprenait des LP de tous les artistes classiques du genre et quelques personnages moins importants que Bryant a pu dĂ©couvrir et apprĂ©cier.

Collectionner de la grande musique de jazz n’a pas sautĂ© une gĂ©nĂ©ration dans le cas de Bryant. Sa biographie RTI dit qu’il aime les sites obsĂ©dants qui vendent de vieux vinyles dans toutes les villes qu’il visite. (Je connais ce sentiment. J’ai pĂȘchĂ© des pierres prĂ©cieuses dans des bacs dans des magasins de disques que je jurerais qu’ils opĂ©raient dans une propriĂ©tĂ© condamnĂ©e. L’une met en vedette Katharine Hepburn dans sa seule comĂ©die musicale, « Coco » – achetĂ©e Ă  la menthe pour 30 cents dans certains Atlanta se plonger.)

En termes de performances, Bryant est un bassiste Ă©lectrique qui continue de jouer dans les clubs.

Comme mentionnĂ©, il est venu Ă  WRTI de WBGO, Newark, une station merveilleuse qui me transporte de Manhattan Ă  environ Hightstown quand je suis sur le NJ Turnpike. Son programme lĂ -bas Ă©tait « Jazz After Hours. Il a Ă©galement rĂ©alisĂ© un podcast primĂ©, « Jazz United ». avec l’un des plus grands experts du jazz d’aujourd’hui, Nate Chinen.

En Ă©crivant sur WRTI, je marque tristement le dĂ©cĂšs de deux artistes locaux dont le travail est frĂ©quemment entendu lĂ -bas, l’extraordinaire organiste de jazz Joey DeFrancesco, dĂ©cĂ©dĂ© cette semaine Ă  l’ñge de 51 ans, et la styliste de chansons et historienne du jazz Monette Sudler, dont L’ñge a Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ© dans diverses sources comme allant de 68 Ă  73 ans. Quoi qu’il en soit, Monette est une autre qui est partie trop tĂŽt.

DeFrancesco est né à Springfield mais, dÚs son adolescence, a apporté de la joie et une partie de la meilleure musique au public du monde entier.

À lui seul, il a fait de l’orgue jazz son propre instrument au cours des 30 annĂ©es ou plus oĂč il a jouĂ© professionnellement, recevant une renommĂ©e internationale et laissant derriĂšre lui une prolifique sĂ©rie d’enregistrements, dont beaucoup ont Ă©tĂ© frĂ©quemment jouĂ©s sur WRTI.

J’ai eu de la chance.

J’ai pu voir Joey DeFrancesco quand il Ă©tait adolescent prendre des cours et donner des rĂ©citals Ă  la Settlement Music School sur Queen St. dans le sud de Philadelphie.

Joufflu mĂȘme dans sa jeunesse, DeFrancesco dansait pratiquement sur son clavier, parfois un piano mais surtout un orgue, souriant et faisant une variĂ©tĂ© de grimaces et de visages heureux au fur et Ă  mesure qu’il parcourait ses riffs passionnants.

Le voir Ă  14 ans Ă©tait assez tĂŽt pour que ce type devienne une star.

Et il l’était.

Monette Sudler Ă©tait une autre que j’ai vue au dĂ©but. Pas tellement maintenant, mais dans les annĂ©es 70 et 80, Philadelphie avait beaucoup de clubs ou de restaurants oĂč l’on pouvait se dĂ©tendre tard le soir, siroter un cocktail et se dĂ©tendre.

Ces endroits avaient des groupes live qui mettaient en vedette certains des meilleurs chanteurs de la région. Mes deux préférées étaient Wendy Simon et Monette Sudler.

Je les voyais dans des boites autour de 2nd et South et je m’émerveillais toujours de la chance de pouvoir profiter de cette musique pour le prix de quelques verres. (Et un pourboire au groupe, si un chapeau ou un aquarium indiquait que des pourboires Ă©taient acceptĂ©s.)

Bien que dans les clubs, Sudler chantait principalement, son rĂŽle durable dans le monde du jazz Ă©tait celui d’une guitariste mĂ©ticuleuse qui trouvait l’émerveillement dans les airs, dont certains qu’elle composait, dans leur simplicitĂ©. Ou leur essence puisque son travail pouvait ĂȘtre assez complexe.

Sudler a souvent été entendue dans bon nombre de ses capacités artistiques et bien informées sur WRTI, en particulier dans les programmes récents animés par Mme Blue.

Silence radio pour les Phillies ?

Les Eagles et moi avons eu le mĂȘme dilemme samedi soir.

Aucun de nous ne pouvait gagner.

Dans mon cas, les Eagles étaient le méchant.

Non pas parce qu’ils ont si pitoyablement perdu leur match Ă©liminatoire de prĂ©-saison, 48-10, contre les Dolphins de Miami, mais parce qu’ils ont continuĂ© Ă  me gĂȘner.
J’ai allumĂ© la radio, puis je suis allĂ© dans un restaurant avec plusieurs tĂ©lĂ©visions pour trouver les Phillies.

Les Phillies ?

Vous souvenez-vous d’eux, une Ă©quipe de baseball professionnelle qui n’est pas en prĂ©-saison mais qui est en lice pour une place en sĂ©ries Ă©liminatoires?

Une équipe qui gagne ses matchs et tient à distance des rivaux tels que les Milwaukee Brewers et les San Diego Padres pendant ce temps particulier ?

J’ai commencĂ© Ă  regarder les Phillies, qui ont gagnĂ© 6-0, sur mon ordinateur, puis j’ai dĂ©cidĂ© de manger quelque chose.

C’est alors que les Eagles ont commencĂ© Ă  me harceler, sur et en dehors du terrain.

J’ai allumĂ© ma voiture, puis j’ai dĂ©placĂ© le cadran de la radio du 90.1, son emplacement habituel, au 94.1, WIP, pour entendre les Phillies. Mon joueur prĂ©fĂ©rĂ©, Alec Bohm, aurait dĂ» venir au marbre.

Je ne le saurais jamais. WIP jouait les Eagles.

Je conduisais ma voiture, qui, illustrant l’une des dĂ©bĂącles des temps modernes, ne me laisse pas changer de station pendant que je roule, une malĂ©diction particuliĂšre pour un conducteur comme moi qui dĂ©teste s’arrĂȘter
jamais.

En plus, il faudrait que je sorte mon téléphone pour savoir sur quelle radio les Phillies ont débarqué.
S’ils atterrissent du tout.

Puis j’arrive au restaurant, celui avec les cinq tĂ©lĂ©s, qui toutes – toutes – Ă©taient branchĂ©es sur le match des Eagles, une dĂ©bĂącle d’un autre genre considĂ©rant que Miami battait nos gars. Sans pitiĂ©.

Étant des citrons dans la persuasion de la limonade, j’ai tirĂ© du bien de cette comĂ©die.

Merrill Reese et Mike Quick sont des artistes qui rendent leur Ă©coute amusante, mĂȘme si le jeu en cours est un dĂ©sastre.

Reese est non seulement bien informĂ© – il est au micro des Eagles depuis que la plupart des parents de l’équipe actuelle portaient des langes – mais il est drĂŽle et critique. Lui-mĂȘme et l’équipe faisant un travail si horrible

Parlant du quart-arriĂšre utilisĂ© pour la plupart des duels du match condamnĂ©, un dont je n’ai jamais saisi le nom, Reese a plaisantĂ© en disant que l’entraĂźneur des Eagles Nick Sirianni ne doit vraiment pas aimer l’un des autres prĂ©tendants Ă  la troisiĂšme place QB derriĂšre Jalen Hurts et Gardner Minshew parce qu’il part ce gars-lĂ  et ne pas jeter un oeil Ă  l’autre.

Quand il est apparu que les Eagles avaient enfin rĂ©ussi un touchĂ©, Reese a suivi son appel TD en disant. « Oups, il est rappelĂ©. » « Pas si vite », a ajoutĂ© Mike Quick. Une pĂ©nalitĂ© s’est produite qui a annulĂ© le score. Et puis il y a eu le rire de deux Eagles portant le mĂȘme numĂ©ro, un en attaque, un en dĂ©fense. Économe, Horatio !

Donc, trouver les Eagles n’était pas une perte totale. Reese et Quick Ă©taient aussi divertissants que les prĂ©sentateurs radio des Phillies, Scott Franzke et Larry Anderson, et bien meilleurs que l’équipe de tĂ©lĂ©vision des Phillies, que je dois avouer que j’entends rarement parce que je les trouve ennuyeux et prĂ©fĂšre les couper et Ă©couter Franzke.

FĂ©licitations en passant Ă  Gregg Murphy, un vĂ©ritable vĂ©tĂ©ran des guerres de diffusion locales, pour l’excellent travail qu’il a accompli pendant que Franzke prenait de brĂšves vacances.

Voici le plus gros problĂšme.

C’est la saison de base-ball.

Oui, le football a ses matchs de prĂ©-saison, dont la plupart n’ont aucun sens parce que les joueurs « A » restent sur le banc et les jeux nouvellement conçus restent silencieux tandis que les personnes qui ne seront pas dans l’équipe la semaine prochaine entrent sur le terrain.

Le baseball est Ă  son apogĂ©e, le moment oĂč des questions importantes comme les places en sĂ©ries Ă©liminatoires sont dĂ©terminĂ©es pour les Ă©quipes qui ne sont pas assurĂ©es de places, comme les Dodgers, les Mets, les Yankees, les Astros et mĂȘme les Braves.

Comme je l’ai mentionnĂ©, les Phillies sont au cƓur de la course aux sĂ©ries Ă©liminatoires. Ils se retrouveront trĂšs probablement dans les Ă©liminatoires d’un match gagnant-gagnant, mais c’est une victoire Ă©tant donnĂ© qu’ils ont connu plus d’une dĂ©cennie de sĂ©cheresse en sĂ©ries Ă©liminatoires.

La diffusion locale devrait faire de la place pour les deux Ă©quipes et, je pense, donner la prĂ©fĂ©rence aux Phillies s’ils jouent un match qui compte, et les Eagles ne font que marquer le temps jusqu’à ce qu’ils arrivent Ă  Detroit pour jouer sĂ©rieusement le jour de l’ouverture, le 11 septembre.

Le moins que WIP aurait pu faire Ă©tait d’avoir demandĂ© Ă  Merrill Reese de dire rĂ©guliĂšrement : « Si vous cherchez les Phillies
 »

Tout ce que vous avez Ă  faire est d’écouter WIP et de voir que la prĂ©venance n’est pas le point fort de la station.

Personne au restaurant ne savait comment changer de chaĂźne ni oĂč syntoniser les Phillies.

Donc le football c’était comme le football ce sera bientĂŽt.

Je sais que le football est maintenant le jeu dominant en Amérique, mais ce serait gracieux si les diffuseurs pouvaient trouver un plan pour la parité pendant que le baseball se rapproche de ses séries éliminatoires et des World Series.

La chronique télévisée de Neal Zoren paraßt tous les lundis.

SOURCE : Reviews News

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