✔️ 2022-05-01 14:00:47 – Paris/France.
Une partie de la discussion autour des « mères parallèles » a tourné autour de la réflexion sur ce qu’il faut faire Pedro Almodóvar de la maternité, en essayant d’inclure différentes perspectives autour d’elle. Mais les mères sont un thème récurrent dans la filmographie du manchego et, voyant le résultat inégal de leur dernier film, il faut dire qu’ils ont eu de meilleurs portraits par le passé.
Un jour comme aujourd’hui, où nous célébrons les mères du monde entier, ce serait son truc d’attraper un film d’Almodóvar pour célébrer la maternité. Comme nous l’avons dit, il y a des exemples variés dans son travail, bien qu’il y ait quelque chose d’inexplicable mais de fort qui nous attire vers ‘Volver’, disponible sur Netflix. Peut-être pas seulement parce que c’est là où il confronte plus directement les mères, mais parce que c’est un de ses meilleurs filmsindiquer.
Retour dans une ville de La Mancha
Comme l’histoire qu’il nous présente, l’histoire d’Almodóvar avec ce film est de retour à ses racines, son peuple. Après les applaudissements internationaux de ‘Talk to her’, le réalisateur a décidé de revenir à quelque chose de plus élémentaire, moins relevé bien qu’il ait continué à entrer dans certaines morales truculentes. Le mélodrame est toujours le genre principal, mais l’impression était que il y avait plus de place pour la légèreté et aussi pour la comédie amplifié, même pour un soupçon vers le genre et le cinéma fantôme.
Dans d’autres circonstances, ce serait un film mineur, mais ce n’était pas le cas avec ‘Volver’. L’histoire de Raimunda a été largement reçue (Penelope Cruz), coincé dans un mariage stagnant avec un chômeur (Antoine de la Tour) tandis qu’elle et sa soeur Sole (Lola Duenas) entendent des histoires que leur mère (carmen maura), tué dans un incendie, était revenu au village.
Tous deux ignorent ces histoires, mais Sole se heurte soudainement à ce qu’elle considère être l’esprit de sa mère, tandis que Raimunda finit par tuer son mari après avoir tenté de violer sa fille.
Tout cela fait beaucoup de mouvements, mais ce ne sont que les premières minutes du film, montrant à quel point les films du manchego peuvent être bruyants. Il y a tromperie, vol, meurtre, réflexion sur le passé, mais même ainsi, l’impression était qu’Almodóvar faisait une comédie. Et c’est donc en partie combinant son énorme influence néoréaliste avec le costumbrismo castillanjouant également avec des histoires de fantômes et même se livrant à un petit (et brillant) moment musical.
‘Volver’ : entre nous on a réussi
Almodóvar fait un exercice parfait pour unir tout cela dans un ton digeste qui sert aussi l’histoire, qui va compter sur beaucoup de soin pour que ces liens entre femmes s’épanouissententre mères et filles, et réfléchir aux traumatismes générationnels et à la façon dont les femmes les ont historiquement endurés.
Il aurait été difficile de soutenir tout cela si nous n’avions pas casting très inspiré avec des actrices exceptionnelles, surtout une Penélope Cruz plus lumineuse que jamais. Au final, « entre nous on gère ». Des phrases comme celle-ci sont libérées avec tout le naturel, mais elles contiennent des significations d’une grande force et d’une émotion authentique, qui montrent le vrai la passion du réalisateur pour le dédier aux femmes qui y ont grandi.
Des moments très puissants, mais comptés de calme et de proximité. C’est pourquoi ‘Volver’ est le film qui a le plus réconcilié Almodóvar avec le public, et c’est pourquoi c’est un choix idéal pour un jour comme aujourd’hui.
SOURCE : Reviews News
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