✔️ 2022-05-19 16:01:54 – Paris/France.
La tendance du blockbuster actuel est généralement qu’il ne dérange pas, même s’il ne laisse pas vraiment de résidu. Des mondes de science-fiction qui semblent plus tard très limités en imagination, très fréquent en raison de l’élimination des stridences, très atténué en couleurs. On essaie de supprimer les extravagances de la formule établie pour pouvoir feindre un sérieux qui est ensuite artificiel.
Il y a de la peur lorsqu’on essaie de se lancer dans une proposition audacieuse avec des éléments vraiment distinctifs, peut-être par peur de la moquerie dans des clips Twitter dépourvus de contexte qui deviennent viraux, comme si c’était un péché de prendre des décisions en dehors du conventionnel. Pour cela l’audace de certains cinéastes fous est à appréciermême s’ils finissent par tomber dans un résultat irrégulier, pour façonner des propositions telles que « Valériane et la cité des mille planètes‘.
« Le cinquième élément » n’était que le début
Avec des critiques mitigées et un box-office pas terrible mais insuffisant, le film de Luc Besson a rencontré un malentendu lors de sa sortie en 2017. Ce n’était plus en 1997, lorsque le réalisateur a pu s’en tirer en réalisant une extravagance comme ‘Le cinquième élément‘. Les Français ont fait un film qui s’est démarqué comme non conventionnelet que l’audace est le meilleur argument pour le voir sur Netflix avant qu’il ne quitte la plateforme le samedi 21 mai.
« Valérian et la Cité des Mille Planètes » nous présente deux agents spatiaux, incarnés par Dane De Haan Oui Cara Delevingnequi sont affectés à l’impressionnante et vaste métropole appelée Alpha, où des espèces de partout dans l’univers convergent en harmonie et en coopération. Une mystérieuse force obscure conspire pour perturber cette paix obtenue, et ces agents doivent la contrecarrer pour sauver la ville et l’univers entier.
Tous les éléments pour une frénésie de space-opéra qui il n’est pas coupé pour façonner des structures et des créatures impressionnantes, presque impossible au-delà des limites élastiques de l’imagination. S’appuyant sur le roman graphique séminal de Jean-Claude MézièresBesson montre à l’écran un univers si coloré, bizarre et singulier que même la présence de Rihanna ce n’est qu’un élément de plus de cet incroyable puzzle de mille pièces.
« Valériane et la cité des mille planètes » : science-fiction sans limites
Il y a une séquence qui se déroule sur une plage somptueuse pleine de perles et de créatures rares qui montre toute l’ambition de Besson dans ce film, tant dans les effets que dans le spectacle. Seul un développement quelque peu irrégulier tout au long de ses deux heures de métrage le sépare de être un blockbuster aussi festif et majestueux que brillantpeut-être capable de regarder dans les yeux d’autres déploiements notables comme « Avatar ».
Dans l’ensemble, cela reste une pièce fascinante de science-fiction, n’a pas peur de prendre des risques et de proposer des audaces qui défient la zone de confort du téléspectateur moyen. Il n’était pas loin de réussir dans la tâche, mais la perception de l’échec l’a empêché de continuer. Heureusement, on peut continuer à en profiter via les plateformes, même si c’est pour un temps limité.
Critique à Espinof : ‘Valériane et la cité des mille planètes’, quand l’emballage est précieux mais qu’on avait déjà le cadeau
SOURCE : Reviews News
N’hésitez pas à partager notre article sur les réseaux sociaux afin de nous donner un solide coup de pouce. 🤓