đ” 2022-03-28 19:38:08 â Paris/France.
Machine-Gun-Kelly_Press-Image-2_Photo-Credit_MEENO â CrĂ©dit : Meeno*
Sorti lâĂ©tĂ© dernier pour taquiner le sixiĂšme album de Machine Gun Kelly, le single « Papercuts », avec sa guitare strummy Cobain-pain et ses accords de puissance qui bouillonnent le cerveau, a Ă©tĂ© accueilli avec un lĂ©ger haussement dâĂ©paules de soutien. Selon le proverbial « gens sur Internet », il a Ă©tĂ© considĂ©rĂ© comme un autre mouvement « rock » latĂ©ral de lâancien rappeur de mixtape signĂ© par Diddy en 2011 comme une rĂ©plique trĂšs tardive au gambit Eminem du Dr Dre. Bien que sa candidature pop-punk 2020 Billets pour ma chute (dirigĂ© par Travis Barker, le batteur de Blink-182 adjacent Ă Kardashian) a fait ses dĂ©buts au n ° 1, il y avait encore des fouilles Ă lâauthenticitĂ© de MGK.
Alors, qui doit savoir quand Kelly a Ă©crit le rap furieux qui est maintenant ajoutĂ© à « lâĂ©dition de lâalbum » de « Papercuts ». Mais il est clair que son esprit est rempli de telles perceptions alors quâil aboie : « Vous avez tous dit que jâai changĂ© de genre / Jâai vu la limite et je suis allĂ© plus loin / Je suis un gĂ©nie, jâaurais pu faire Donda / Mais cette chanson est pour mon pĂšre mort, euh.â
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Câest exactement le ricanement provocant et orgueilleux qui a transformĂ© Colson Baker, enfant endommagĂ© de parents missionnaires chrĂ©tiens itinĂ©rants, en « Machine Gun Kelly » encrĂ©e et blanchie, un camĂ©lĂ©on mignon qui se dispute avec des cĂ©lĂ©britĂ©s et passe de la scĂšne aux commĂ©rages. site Ă poursuivre. Comme Pete Davidson â qui rigole Ă travers une apparition sur Vente grand public â il suscite des rĂ©actions qui se transforment en argent.
Prenez la joyeusement dĂ©rivĂ©e « Emo Girl », qui fait rĂ©fĂ©rence Ă plusieurs niches de la culture pop et a dĂ©jĂ inspirĂ© une parodie de « Butt Rock Girl ». BoostĂ© par WILLOW, alias la fille de Will Smith, « Emo Girl » sâouvre sur un clip de la comĂ©die dâhorreur de 2009 le corps de Jennifer (pierre de touche fĂ©ministe subversive / queer actuelle), dans laquelle le personnage principal, jouĂ© par Megan Fox (lâamante actuelle de Kelly), dĂ©clare clairement: « Je suis un dieu ». (Est-ce un autre troll par le bourgeon de mauvaises herbes du petit ami de lâex-femme de Ye?) La chanson mĂ©lange parfaitement «Sk8ter Boi» dâAvril Lavigne avec «Riot Girl» de Good Charlotte et lorsque Kelly ranime ses tiks jappants, le buzzsaw-bubblegum colle.
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Mais une telle joie et un tel chaos ne sont pas Vente grand publicle but. AssistĂ© de Barker, son batteur/guide spirituel, Kelly fait un bruit Ă©volutif, pas trĂšs joyeux, qui fait un clin dâĆil Ă son ancien bruit et lâinspire Ă se purger. LâĂ©motion qui en rĂ©sulte : Je suis nul et je veux mourir. Chanson aprĂšs chanson fait rĂ©fĂ©rence Ă la mort, au suicide, Ă sâimaginer mort ou quelquâun dâautre mort, ou Ă voir lâamour comme une apocalypse zombie. Lyriquement, câest sa lingua franca.
Sur lâouverture « Born With Horns », sur un breakbeat Ă double temps et des entailles de guitare, il rap-gĂ©mit « Je ne veux plus vivre » et conclut sur le refrain plus attachant et moins morveux, « Dans ce film, je sachez quâil nây a pas de fin heureuse. Il rĂ©pĂšte cette ligne dans lâalbum plus proche « flamme jumelle », sa tentative de « Good Riddance (Time of Your Life) » avec guitare acoustique et piano. Sur « Twin Flame », comme ailleurs, il est brisĂ© et elle est trop bonne, trop pure, trop magique pour lui, alors il est temps de vĂ©rifier.
Kelly, Ă 31 ans, nâa pas rĂ©alisĂ© que lâĂ©criture de chansons introspective ne sâarrĂȘte pas Ă admettre que vous ĂȘtes une ordure narcissique. La chanson titre â pas tout Ă fait deux minutes de copain alt-Nineties â a un crooning MGK auto-rĂ©glĂ© et des insultes gĂ©missantes lancĂ©es par dâautres. (Une Megan Fox Ă la voix frite apparaĂźt et demande : « Est-ce quâil joue mĂȘme de la guitare ? » Waterworks, nagĂ© dans votre piscine. Tous ensemble maintenant, « YECCHH! »
Le plus souvent, Kelly utilise le rock pour exprimer sa douleur et le rap pour sâen Ă©vader, câest-Ă -dire abuser de substances avec Lil Wayne sur deux titres assez futiles. Il entretient de bonnes relations avec Iann Dior sur lâagrĂ©able exercice pop-rock « Fake Love Donât Last ». Mais que Kelly dĂ©ploie du « rock », du « rap » ou de la « pop », vendre et ennuyer les gens en ligne sont le moindre de ses problĂšmes. Peut-ĂȘtre que la prochaine fois, ses dĂ©sirs de mort avec haine de soi pourraient ĂȘtre le point de dĂ©part, pas lâalpha et lâomĂ©ga.
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SOURCE : Reviews News
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