‘L’homme du nord’ : 13 films et une sĂ©rie recommandĂ©s si vous avez aimĂ© l’odyssĂ©e viking de


'L'homme du nord' : 13 films et une série recommandés si vous avez aimé l'odyssée viking de... - Espinof

🍿 2022-04-27 17:05:49 – Paris/France.

« El hombre del norte » (The Northman, 2022) n’a pas Ă©tĂ© un succĂšs au box-office, mais il a crĂ©Ă© beaucoup de conversations en cinĂ©philie. Le film de Robert Eggers met en scĂšne Alexander SkarsgĂ„rd dans le rĂŽle d’Amleth, le fils d’un roi scandinave jouĂ© par Ethan Hawke tuĂ© par son frĂšre (Claes Bang), qui Ă©chappe Ă  son oncle sanguinaire et devient un guerrier qui se rend en Islande pour se venger.

Sa multitude d’influences, des sagas de diverses familles islandaises aux dĂ©cors des films prĂ©fĂ©rĂ©s d’Eggers, dĂ©finissent le style visuel et la direction artistique de ‘The Northman’, de telle sorte que ses racines cinĂ©philes laissent de nombreux indices pour continuer l’expĂ©rience quand quitter le cinĂ©ma, c’est pourquoi Nous avons sĂ©lectionnĂ© 11 films et une sĂ©rie associĂ©e pour voir si vous en voulez plus aprĂšs avoir quittĂ© le cinĂ©ma.

Une collection pour complĂ©ter l’expĂ©rience Northman.

Si cette liste vous est utile, vous pouvez jeter un Ɠil Ă  d’autres comme Les 21 meilleurs films d’aventure de l’histoire, ou si vous prĂ©fĂ©rez le genre action, vous pouvez consulter les 32 meilleurs films d’action de l’histoire, si au contraire ce qui vous intĂ©resse vous ĂȘtes les aspects d’horreur d’oĂč vient Robert Eggers, vous avez Ă©galement Ă  disposition 27 films d’horreur essentiels jusqu’à prĂ©sent au 21e siĂšcle.Commençons par la liste de « L’homme du nord ».

« La sorciÚre » (La sorciÚre, 2015)

Mise en scĂšne : Robert Eggers. Avec : Anya Taylor-Joy, Ralph Ineson, Kate Dickie, Harvey Scrimshaw, Lucas Dawson.

Le premier album de Robert Eggers contient toutes les clĂ©s visuelles et atmosphĂ©riques de son cinĂ©mamais avec une volontĂ© de premier film qui fait que certaines de ses ambitions artistiques ne transforment pas la narration en quelque chose d’aussi dĂ©libĂ©rĂ© que « Le phare » et des parties de « L’homme du nord », toujours son meilleur film et le plus terrifiant, le meilleur des moments de sa grande Ă©popĂ©e en studio sont redevables aux rĂ©alisations de celui-ci.

Critique Ă  Espinof, de Sergio BenĂ­tez Disponible sur Netflix, Amazon, Starz, Rakuten tv

‘Midsommar’ (2019)

RĂ©alisateur : Ari Aster. Avec : Florence Pugh, Jack Reynor, Will Poulter, William Jackson Harper, Ellora Torchia.

Dans ‘The Northman’ Anya Taylor-Joy porte une couronne de feuilles comme Florence Pugh dans ce vaisseau amiral A24 qui a consacrĂ© le rĂ©alisateur Ari Aster, qu’Eggers remercie Ă  juste titre Ă  la fin du gĂ©nĂ©rique, son film est plein de connexions danses paĂŻennes et cĂ©lĂ©brations d’esclaves, symboles runiques, sacrifices rituels et la racine scandinave qui la relie a un rĂ©sidu viking commun qui laisse des dĂ©tails familiers avec DĂ©jĂ  vu.

Critique Ă  Espinof, de VĂ­ctor LĂłpez

Disponible sur Movistar, Amazon et Rakuten

‘Valhalla Rising’ (2009)

Direction : Nicolas Winding Refn. Avec : Mads Mikkelsen, Gary Lewis, Maarten Stevenson, Jamie Sives, Ewan Stewart.

Des annĂ©es avant qu’A24 ne fasse rage face Ă  des rĂ©alisateurs prĂ©tentieux, nous avons dĂ©jĂ  rencontrĂ© le Danois Nicholas Winding Refn sur place aux cĂŽtĂ©s de Mads Mikkelsen, apportant au grand Ă©cran une vision du folklore viking qui suit un guerrier nordique alors qu’il voyage Ă  travers le paysage rude de l’Écosse scandinave visuellement sublime et cela ne facilite pas la tĂąche du spectateur, comme la version art et essai de ‘El hombre del norte’, Ă©galement 18 fois moins chĂšre.

Critique en Espinof, de VĂ­ctor LĂłpez Disponible en Filmin

AndreĂŻ Roublev (ĐĐœĐŽŃ€Đ”Đč Đ ŃƒĐ±Đ»Ń‘ĐČ, 1966)

Direction : AndreĂŻ Tarkovski. Avec : Anatoly Solonitsyn, Ivan Lapikov, Nikolai Sergeyev, Nikolai Grinko, Irma Rausch.

L’épopĂ©e historique d’Andrei Tarkovsky est l’une des influences dĂ©clarĂ©es d’Eggers pour le film. sur le peintre d’icĂŽnes du XVe siĂšcle, en particulier la scĂšne du raid tatar de Rublev, qui, tout en utilisant une approche multi-camĂ©ras, sert d’inspiration pour les sĂ©quences du film, ainsi que pour le rĂ©cit Ă©pique gĂ©nĂ©ral et le ton, eh bien, le ton de Tarkovsky.

Critique en Espinof, d’Adrián Massanet Disponible en Filmin

Le Nordique (Le Norseman, 1978)

Adresse : Charles B. Pierce. Avec : Lee Majors, Cornel Wilde, Mel Ferrer, Jack Elam, Susie Coelho.

Ce n’est pas un film sur les couettes, mais une sĂ©rie B sur les Vikings qui voyagent sur un bateau lĂ©ger pour localiser le roi Eurich, qui a disparu quelques annĂ©es auparavant pour se retrouver sur un autre continent plein d’indigĂšnes, c’est-Ă -dire uune prĂ©quelle apocryphe de ‘Pathfinder’ (2007), qui est Ă©galement digne d’accompagner le visionnage de ‘El hombre del norte’, qui malgrĂ© sa maladresse est un dĂ©tournement des calamitĂ©s cinĂ©matographiques comme avoir des Africains endurcis au combat dans les rangs de l’armĂ©e scandinave. Il a Ă©galement Ă©tĂ© avancĂ© pour le titre du film d’Eggers.

« Macbeth » (1971)

RĂ©alisation : Roman Polanski. Avec : Jon Finch, Francesca Annis, Martin Shaw, Nicholas Selby, John Stride.

Le nouveau  » Macbeth  » d’A24 (2021) reprend une ou deux allusions Ă  l’esthĂ©tique de  » The Witch  » (The Witch, 2015), comme cet oracle qui se transforme en corbeau, et maintenant c’est le propre travail d’Eggers qui a des liens Ă©troits avec Shakespeare , mais nĂ©anmoins, la recherche de la prĂ©cision de la mise en scĂšne Ă  l’opposĂ© du magique et la brutalitĂ© proche de la terreur la rapproche beaucoup plus de la version de Polanskiun film d’époque plein de clĂ©s de l’horreur folklorique britannique ultĂ©rieure qui finira par boucler la boucle avec le lien entre « The Man from the North » et « Midsommar ».

Critique Ă  Espinof, par AdriĂĄn Massanet

‘Abattage. Viens et vois » (ИЎО Đž ŃĐŒĐŸŃ‚Ń€Đž, 1985)

RĂ©alisation : Elem Klimov. Avec : Alexei Kravchenko, Olga Mironova, Liubomiras Laucevicius, Vladas Bagdonas.

Il devient de plus en plus clair que la grande astuce du couple de mode A24 est de rĂ©cupĂ©rer des rĂ©fĂ©rences qui ne sont pas trop courantes dans le cinĂ©ma amĂ©ricain car l’accĂšs Ă  certains films n’était pas si proche jusqu’à l’arrivĂ©e du format domestique, ainsi, Ari Aster et Robert Eggers ont tendance Ă  reproduire de nombreux moments d’auteurs tels que Sergei Parajanov, Aleksandr Rou et le cinĂ©ma soviĂ©tique en gĂ©nĂ©ral, comme « Come and see », chef-d’Ɠuvre brutal sur l’horreur de la guerre dont la scĂšne clĂ©, l’incendie de la cabine, est Ă  l’honneur dans « L’homme du nord » au tempo similaire.

Critique Ă  Espinof, de Jorge Loser

Disponible en film

Sur le globe d’argent (Na srebrnym globie, 1988)

Direction : Andrzej Zulawski. Avec : Andrzej Seweryn, Jerzy Trela, Grazyna Dylag, Waldemar Kownacki, Iwona Bielska.

Lost Jewel de Zulawski est le film fantastique des annĂ©es 80 le plus audacieux, Ă  une Ă©poque oĂč la science-fiction et l’épĂ©e et la sorcellerie qui refondent parfois ‘L’Homme du Nord’ cohabitent souvent dans des films comme ‘Krull’, ce genre de dĂ©clinaison de ‘Planet of les singes avec astronautes naufragĂ©s colonisant des planĂštes a des armĂ©es de guerriers qui pourraient trĂšs bien ĂȘtre des Vikings de l’espace, une folie avec mĂ©taphysique et guerres de religion qu’Eggers cite dans la sorciĂšre voyante interprĂ©tĂ©e par Björk.

Disponible en film

Conan le barbare (Conan le barbare, 1982)

Direction : Jean Milius. Avec : Arnold Schwarzenegger, James Earl Jones, Sandahl Bergman, Max von Sydow.

‘L’homme du nord’ joue le rĂŽle d’un drame historique prestigieux, mais on sent qu’il se veut un peu plus comique, et ‘Conan le barbare’ est l’une des grandes rĂ©fĂ©rences d’Eggers, le film d’Arnold Schwarzenegger Ă©tait le prĂ©fĂ©rĂ© du rĂ©alisateur quand il Ă©tait enfant et il n’est pas Ă©tonnant qu’il apparaisse ici puisque Robert E. Howard s’est inspirĂ© des sagas vikings. Nous devons donc Conan prend son Ă©pĂ©e dans une chambre funĂ©raire trĂšs similaire Ă  celle d’Amleth, quelque chose de clĂ© dans toutes les sagas nordiquesce qui n’est plus une coĂŻncidence est la scĂšne de la mort du pĂšre du protagoniste ou des banniĂšres serpent.

Critique Ă  Espinof, par AdriĂĄn Massanet

Disponible sur Disney+

La trilogie Vikings de Hrafn Gunnlaugsson (1984–1991)

Adresse : Hrafn Gunnlaugsson. Avec : Edda BjörgvinsdĂłttir, Egill Ólafsson, Reine Brynolfsson, Tinna GunnlaugsdĂłttir, Gotti Sigurdarson.

Qu’Eggers ait un Ɠil sur le cinĂ©ma du vieux continent n’est pas Ă  montrer, mais lorsqu’il cite Kurosawa, il semble le faire Ă  travers la rĂ©interprĂ©tation par Yojimbo via western des films sur les Vikings rĂ©alisĂ©s en Islande. R) Oui, le roi corbeau, les tensions entre paganisme et christianisme, les enfants qui grandissent en quĂȘte de vengeance et toutes les traditions bruts, ils Ă©taient dĂ©jĂ  dans ƒil pour Ɠil. Quand les corbeaux volent » (Hrafninn flĂœgur, 1984), « L’ombre du corbeau. La revanche des Vikings » (Í skugga hrafnsins, 1988) et « Le Viking blanc » (HvĂ­ti vĂ­kingurinn – Den Hvite viking, 1991)

Erik le Viking (1989)

RĂ©alisation : Terry Jones. Avec : Tim Robbins, Mickey Rooney, John Cleese, Terry Jones, Eartha Kitt, Imogen Stubbs.

Le rĂ©alisateur des comĂ©dies du groupe Monty Python Ă©tait en charge de cette aventure parodique du cinĂ©ma barbare qui Ă©tait en mĂȘme temps une proposition plus mature des cirques typiques du groupe, ici il a capturĂ© le cĂŽtĂ© obscur du mode de vie nordique du pillage et le absurde d’une foi aveugle dans le Valhalla, des dĂ©tails dont ‘El hombre del norte’ est trĂšs conscient, mĂȘme si parfois l’histrionisme de ses acteurs et les moments d’excĂšs se heurtent tellement aux blocages les plus solennels qui des moments de comĂ©die involontaires sont crĂ©Ă©s qui pourraient faire partie du film Jones.

Vikings (Vikings, 2013-2020)

Créateur : Michael Hirst. Avec : Travis Fimmel, Katheryn Winnick, Gustaf SkarsgÄrd, Alexander Ludwig,

Pendant 6 saisons, cette sĂ©rie relate les aventures de Ragnar Lothbrok et de ses frĂšres vikings depuis qu’il se lĂšve pour devenir le roi des tribus vikings. A travers de nombreux Ă©pisodes on peut suivre la Traditions nordiques, dĂ©votion aux dieux et batailles sanglantes. Son look Ă©purĂ© et ses acteurs d’agence de mannequins n’offrent pas le cadre idĂ©al pour une telle histoire, mais il la surmonte en augmentant l’intĂ©rĂȘt chaque saison. Continuez maintenant avec «Vikings: Valhalla», qui se dĂ©roule plus d’un siĂšcle aprĂšs la fin de celui-ci.

Critique dans Espinof, (saison 6) de Noelius Disponible sur Netflix et Hbo Max

SOURCE : Reviews News

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