‘L’homme contre l’abeille’ ne trompe pas : la série de Rowan Atkinson pour Netflix est hilarante et…

'L'homme contre l'abeille' ne trompe pas : la série de Rowan Atkinson pour Netflix est hilarante et...

✔️ 2022-07-04 13:31:36 – Paris/France.

Rowan Atkinson revient avec un nouveau personnage et une série pour le présenter. Habitués à leurs Blackadder, Mr. Bean et Johnny English, l’humoriste anglais incarne cette fois une femme de ménage instable dans ‘L’homme contre l’abeille‘, la nouvelle comédie de Netflix.

Comme son nom l’indique, la série s’articule autour d’un fait : le combat singulier et démentiel entre Trevor, une femme de ménage en herbe, et une abeille qui prend paix et tranquillité à un travail initialement simple.

En ce sens, Atkinson et William Davies (« Johnny English ») ne mentent pas en présentant une série qui embrassez la plus pure comédie à succès dans ce que l’on voit s’intensifier cette petite croisade par un personnage peut-être plus instable mentalement que d’autres de l’acteur. En fait, alors que nous pouvions penser à un nouveau M. Bean, celui-ci était tout simplement maladroit et naïf.

Un film déguisé en série

Je ne sais pas, dans ce monde où la télévision et la narration cinématographique se sont en quelque sorte diluées, dans quelle mesure il faut entrer dans le débat que les séries ne sont pas, ni ne doivent être, des films découpés. dans de nombreuses productions le sens de l’épisode en tant que structure se perd récit et ceci en est un exemple clair.

L’absence d’intrigue B, conjuguée au fait que le métrage total atteint à peine 110 minutes et que la coupure entre épisode et épisode Ce n’est pas tant entre les actes qu’entre les séquences (plutôt entre gags), crée cette sensation d’être devant un film divisé en 9.

Pas hilarant, mais drôle et mignon. Parmi ceux-ci passer l’après-midi en famille soit au cinéma soit à la télévision grâce, avant tout, au bon travail d’Atkinson, qui continue de dominer le genre et travaille comme peu d’autres les exigences des personnages et des histoires de ce style.

Le problème, c’est qu’au-delà de la simplicité basique de « L’homme contre l’abeille », la fiction souffre d’être un peu molle et facile dans ses gags. Encore plus que d’anticiper les situations (pour une raison quelconque, les premières minutes vous disent ce qui va se passer ensuite), c’est prévisible. La visite de la maison vous dit déjà ce qui va se passer et comment et qui enlève une partie de la « magie » des situations qui fonctionnent avec précision.

SOURCE : Reviews News

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