Les 50 meilleurs albums de nu metal de tous les temps

đŸŽ¶ 2022-04-01 19:15:12 – Paris/France.

Lorsque le nu metal est apparu pour la premiĂšre fois au milieu des annĂ©es 90, c’était l’une des choses les plus excitantes qui soient jamais arrivĂ©es au heavy metal. Des groupes comme Korn, Deftones et Limp Bizkit ont redĂ©fini les limites de ce Ă  quoi le mĂ©tal pourrait ressembler (et sonner). L’attrait du genre est peut-ĂȘtre devenu plus sĂ©lectif aprĂšs 2001, mais son hĂ©ritage perdure.

Des groupes comme Death Blooms, Wargasm, Tetrarch et Tallah reprĂ©sentent une nouvelle race d’artistes de nu metal contribuant Ă  repopulariser le son, amenant une toute nouvelle gĂ©nĂ©ration de mĂ©talleux dans le giron des jeans baggy.

De plus, sans le nu metal, à peu prùs tous les clubs de rock du monde seraient remplis d’heures de silence et d’un mec solitaire criant d’une voix rauque pour Le soldat – et qui veut ça ?

Dans cet esprit, cette liste reprĂ©sente ce que le nu metal a de mieux Ă  offrir, tel que votĂ© par vous – nos sages et merveilleux lecteurs.

50. Ultraspank – Progrùs (2000)

L’Ultraspank de Santa Barbara avait beaucoup d’atouts pour eux : un accord avec le label majeur Epic, un leader de Pete Murray qui avait toute l’angoisse courbĂ©e et, sur leur deuxiĂšme album Le progrĂšs, un son du moment qui mĂȘle nu metal, musique industrielle et Ă©lectronique. Mais le monde est restĂ© immunisĂ© contre leurs charmes et ils se sont sĂ©parĂ©s peu de temps aprĂšs, les laissant comme l’un des grands « Et si ? » de la scĂšne.


49. Tallah – Matriphagie (2020)

Le visage du nu metal en 2020 est grotesque, si l’on en juge par la tenue de Philadelphie dĂ©figurant le genre orchestrĂ©e par Max Portnoy, fils de Mike de Dream Theater. Embellir des contes chaotiques avec des raps venimeux et des voix claires dĂ©sespĂ©rĂ©es grĂące au chanteur (et parfois YouTuber) Justin Bonitz, Matriphagie peint des images horribles dont vous ne pouvez pas vous arracher, reprenant lĂ  oĂč les dĂ©buts Ă©ponymes de Korn se sont arrĂȘtĂ©s il y a toutes ces annĂ©es. Il vous fera chercher votre jean JNCO.


48. Racine pivotante – Cadeau (2000)

Le seul groupe de nu metal Ă  tirer son nom d’un album de Neil Diamond (Manuscrit de la racine pivotante, puisque vous demandez), Taproot du Michigan s’est fortement appuyĂ© sur la basse claquante de style Korn et la voix angoissĂ©e sur leur troisiĂšme album et leurs dĂ©buts sur un label majeur. Mais ce qui leur manquait d’unicitĂ©, ils l’ont compensĂ© par une capacitĂ© Ă  atteindre le point idĂ©al que chaque enfant de nu metal voulait entendre en l’an 2000.


47. Spineshank – Le comble de l’insensibilitĂ© (2000)

AlimentĂ© par un tourbillon d’énergie, un travail de production magistral de Garth Richardson et l’incroyable voix de Jonny Santos, Spineshank Ă©tait l’un des meilleurs joueurs de rock de tous les temps du nu metal. Des paysages sonores Ă©lectroniques, la combinaison classique de pĂ©dales et de grooves et des refrains qui durent des jours (mĂȘme si vous pensez ne pas savoir SynthĂ©tiquetu fais), Le summum de l’insensibilitĂ© est un tour de force d’avant en arriĂšre. Si vous aimez courir, Ă©couter ce mauvais garçon vous fera gagner des minutes.


46. ​​Sevendust – AnomositĂ© (2001)

AnomisitĂ© aurait pu s’ouvrir avec un titre intitulĂ© Seins sur un sanglier, mais dans l’ensemble, Sevendust n’a pas Ă©tĂ© enclin Ă  la stupiditĂ© qui encombrait les extrĂ©mitĂ©s infĂ©rieures du genre. Au contraire, pendant un moment, il semblait qu’ils allaient ĂȘtre massifs – ils ont mĂȘme sonnĂ© dans le nouveau millĂ©naire en soutenant Metallica en dĂ©cembre 1999. Malheureusement, ce n’était pas censĂ© l’ĂȘtre, mais AnomisitĂ© tue toujours avec sa combinaison de mĂ©lodies vocales soul et de riffs staccato poignardants.


45. Chimaira – L’impossibilitĂ© de la raison (2003)

Il y avait une ligne fine entre le nu metal et certaines parties de l’explosion de la nouvelle vague de heavy metal amĂ©ricain qui a suivi, et Chimaira avait un pied dans les deux camps. Les porte-drapeaux de Cleveland ont livrĂ© l’un des albums dĂ©finitifs de 2003, offrant un mĂ©lange percutant de clobber de groove metal, de crochets thrashy et de fanfaronnade de nu metal. Chimaira est peut-ĂȘtre devenu l’ultime Nearly Band du mĂ©tal, mais c’était toujours un classique post-millĂ©naire.


44. Coal Chamber – Musique de chambre (1999)

CrucifiĂ© dans la presse Ă  l’époque comme une piĂštre suite Ă  leur premier album marquant, le deuxiĂšme album de Coal Chamber Musique de chambre est bien meilleur que la lĂ©gende ne le dit. Dez Fafara et co ont dĂ©pouillĂ© les Ă©lĂ©ments de bande dessinĂ©e de leur son (et de leur look) et ont livrĂ© quelque chose de plus sombre, plus Ă©trange et plus gothique. Cette couverture assistĂ©e par Ozzy de Peter Gabriel Choquer le singe suce toujours le grand cependant.


43. (hed)pe– (hed)pe (1997)

Les (hed)pe de LA Ă©taient lĂ  Ă  la naissance du nu metal, et ont Ă©vitĂ© les clichĂ©s qui sont venus plus tard. Le leader Jahred ‘MCUD’ Gomes pouvait en fait rapper contrairement Ă  beaucoup de ses pairs, et les influences hip hop, reggae et dub tissĂ©es tout au long de leur premier album Ă©ponyme Ă©taient Ă  la fois inventives et convaincantes.


42. Tetrarch – Instable (2021)

Si les influences Korn et Slipknot sont indĂ©niables, le deuxiĂšme album de Tetrarch Instable a vu les Atlantans affirmer leur propre identitĂ© Ă  travers 10 titres remplis de grooves colossaux et de chansons Ă  chanter. DĂ©cidĂ©ment plus dans le camp qui consiste Ă  repousser les bangers de club que les croisements hip-hop douteux, Tetrarch est exactement l’infusion de la nouvelle vitalitĂ© dont le nu metal a besoin pour faire un retour en force.


41. Soulfly – Primitif (2000)

Les deux premiers albums de Soulfly sont des affaires Ă©toilĂ©es, comme Chino Moreno, Fred Durst et Tom Araya qui apparaissent tous sur des longs mĂ©trages invitĂ©s. La mĂ©daille d’or revient Ă  Primitifc’est Sauterdafuckup cependant, ce qui a amenĂ© Corey Taylor pour un destructeur de sol tout Ă  fait colossal. Des morceaux comme Retour au primitif et AmĂšne le a montrĂ© que Soulfly pouvait l’apporter mĂȘme sans talent supplĂ©mentaire, Max Cavalera utilisant pleinement le mĂ©lange de rythmes tribaux, de menace bas de gamme et d’évasions thrashy qui avaient fait Les racines une telle percĂ©e.

SOURCE : Reviews News

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