Les 10 meilleurs films Netflix à regarder en été

Les 10 meilleurs films Netflix à regarder en été

🍿 2022-06-24 15:02:00 – Paris/France.

Vous recherchez les meilleurs films Netfix Ă  ajouter Ă  votre liste ? Les vacances d’étĂ© sont lĂ  et cela signifie aussi, que le moment est venu de tirer le meilleur parti du Streaming. Les plateformes en ligne sont devenues, au cours de la derniĂšre dĂ©cennie, la meilleure option pour se divertir Ă  la maison. Mais surtout, en raison de la pandĂ©mie, aussi de maniĂšre plus simple pour profiter du meilleur et du dernier cinĂ©ma. Une forme de divertissement confortable et accessible qui, peu Ă  peu, est devenue un point essentiel de la culture pop.

Surtout pendant les vacances d’étĂ©, lorsque le temps libre abonde. Les services de Streaming permettent non seulement une sĂ©lection du matĂ©riel prĂ©fĂ©rĂ© de tous les membres de la famille. Aussi, une revue de tout un monde nouveau et rĂ©cent du cinĂ©ma et surtout des sĂ©ries qui ne cessent de grandir. Ainsi, les jours de repos sont idĂ©aux pour renouveler les coups de coeur, explorer de nouvelles options ou mĂȘme simplement se reposer en compagnie d’un bon film.

Mais plus que cela, profiter d’un bon contenu peut mĂȘme ĂȘtre un moyen valable de profiter de la pause annuelle bien mĂ©ritĂ©e. Votre plan de vacances inclut-il de rester Ă  la maison et de profiter du multi-Ă©cran ? Nous vous proposons les meilleurs films Netflix Ă  regarder en Ă©tĂ©. Une liste dĂ©taillĂ©e de tous les films dans plusieurs genres diffĂ©rents, qui rendront vos journĂ©es Ă  la maison mĂ©morables. Et pas seulement cela : aussi une splendide cĂ©lĂ©bration de tout ce que l’étĂ© peut ĂȘtre. Bonne compagnie, temps familial de qualitĂ© et aussi, redĂ©couvrez le plaisir du cinĂ©ma dans le confort de la maison.

« Les Mitchell contre les machines »

Le nominĂ© Ă  l’Oscar du meilleur film d’animation est l’un des temps forts de la science-fiction sur Netflix. Aussi, une Ɠuvre mĂ»re, intelligente et bien construite, qui ravira les amateurs de films d’animation chargĂ©s de rĂ©fĂ©rences. Avec un scĂ©nario brillant, mais surtout un regard intuitif sur l’humour, c’est un pari ambitieux qui triomphe dans son ingĂ©niositĂ©.

La prĂ©misse ne pourrait pas ĂȘtre plus folle, et pourtant elle est merveilleuse dans sa complexitĂ© singuliĂšre. Lorsque les Mitchell dĂ©cident de partir en voyage en famille, ils se retrouvent face Ă  une cyber-apocalypse. L’éventualitĂ© catastrophique sera le prĂ©texte Ă  un voyage de dĂ©couverte de soi, de complicitĂ© et aussi, un combat fou contre un ennemi singulier. Mais comme si cela ne suffisait pas, le film utilise le meilleur du cinĂ©ma de science-fiction de ces derniĂšres annĂ©es pour aborder diverses questions sensibles. Et c’est le cas, Ă  partir d’une symbologie bien pensĂ©e qui surprend par son Ă©loquence.

Au final, les Mitchell se retrouveront en cas de sauvetage de leur vie et comprendront Ă©galement les liens qui les unissent. Tout, avec deux robots cassĂ©s en remorque et une tragĂ©die mondiale Ă  l’horizon. Avec son ton satirique et rapide et son brillant hommage Ă  la science-fiction, The Mitchells vs. the Machines est une excellente option pour l’étĂ©.

« Le Dragon des Souhaits »

Un autre anime qui subvertit l’idĂ©e du bien et du mal, l’humour et l’exploration de la culture du point de vue satirique. Mais en plus, le film de Chris Appelhans utilise le parcours initiatique (Ă  travers la figure d’un dragon magique arrogant), pour plonger dans le philosophique. Un succĂšs qui transforme l’argument en un transit Ă  travers les souvenirs, la mĂ©moire comme fait culturel et la solitude comme traumatisme. Mais plus encore, il plonge dans la condition du magique comme un regard sur le temps et l’identitĂ©.

Le Dragon des VƓux, c’est aussi un voyage minutieux Ă  travers Shanghai, avec tout son merveilleux mĂ©lange culturel. Le film se dĂ©roule une section visuelle Ă©lĂ©gante, qui est Ă©galement liĂ© aux coutumes et traditions asiatiques. Le rĂ©sultat est un symbolisme brillant qui analyse la vision ethnique dans le cadre d’un voyage Ă  travers l’histoire et son contexte.

Avec son scĂ©nario apparemment inoffensif, Le Dragon des Souhaits un travail discret d’une profondeur singuliĂšre sur la diversitĂ© culturelle. Aussi, un regard bienveillant sur les douleurs spirituelles et morales que nous portons sur notre dos. Tout, sur le dos d’un dragon grincheux. Quoi de plus significatif ?

« Quelqu’un comme lui »

Le monde des influenceurs et leur Ă©trange dimension de renommĂ©e, vient Ă  cette comĂ©die romantique comme un curieux contexte. En plus d’ĂȘtre une rĂ©invention du mythe de Pygmalion et un remake du film pour adolescents « Someone Like Her » de ’99, c’est aussi un regard sur l’amour. Un, au milieu des nouvelles sensibilitĂ©s, de la notoriĂ©tĂ©, du multi-Ă©cran et de la capacitĂ© des rĂ©seaux sociaux d’observateurs collectifs. Au milieu de tout cela, le film explore la question de la romance contemporaine dans tous ses petits dĂ©tails glissants.

Mais au final, « Someone Like Him » ​​pose, au milieu des blagues et d’un scĂ©nario simple, la question de ce qui est rĂ©el Ă  l’ùre de l’influence virtuelle. Dans quelle mesure ce que montrent les grandes plateformes est vrai et comment cela influence-t-il la vie quotidienne. Lui aussi ce que c’est que d’ĂȘtre jeune Ă  une Ă©poque d’exigences extravagantes et une vision unique de l’éthique moderne.

Sans ĂȘtre le film le plus complexe ni le plus solide, il permet l’analyse d’un regard sur ce grand questionnement du poids du monde en ligne dans le monde rĂ©el. Cela sans laisser de cĂŽtĂ© la comĂ©die, l’univers adolescent et au final, une histoire d’amour. Comme tout le genre, il se termine par un prince Ă  cheval Ă  la recherche de sa princesse. Le plus curieux ? L’image est littĂ©rale.

‘La rue de la terreur (Partie 2) 1978’

La trilogie de films Netflix basĂ©e sur le travail de RL Stine atteint son apogĂ©e dans le deuxiĂšme volet, un hommage direct au slasher. Mais ce n’est pas seulement une version d’une histoire d’horreur classique qui utilise les meilleurs Ă©lĂ©ments du genre cinĂ©matographique. C’est aussi une tournĂ©e et une cĂ©lĂ©bration de l’impact de plusieurs des grands classiques du cinĂ©ma dans la culture populaire. Le rĂ©sultat est une intrigue passionnante, sanglante et bien construite qui relie Ă©galement deux rĂ©cits parallĂšles d’un intĂ©rĂȘt considĂ©rable.

D’une part, le film montre le contexte du premier volet de la saga et surtout ce qui s’est passĂ© durant l’étĂ© 78, source d’horreur vingt ans plus tard. À l’autre extrĂȘme, c’est une histoire autonome avec des parallĂšles considĂ©rables avec Halloween de John Carpenter et Vendredi 13 de Sean S. Cunningham. Le mĂ©lange crĂ©e une atmosphĂšre spĂ©cifique et permet Ă©galement Ă  l’intrigue de dĂ©velopper un fil conducteur unique entre les personnages.

Terror Street (Part 2) 1978, joue avec la capacitĂ© du cinĂ©ma Ă  crĂ©er ses propres couches de langage et de symbolisme. Au-delĂ  de cela, en tant que film d’horreur, c’est une tournure rafraĂźchissante du slasher et de sa façon de montrer la violence. Une recommandation incontournable pour les amateurs de terreur en Ă©tĂ©.

« Bébé conducteur »

Lorsque Baby (Ansel Elgort) dĂ©cide de changer le monde du crime pour une relation amoureuse respectable, les problĂšmes commencent. Surtout parce que trĂšs bientĂŽt il verra qu’il n’est pas si facile d’échapper aux longs tentacules de la violence. Mais il a une voiture, un talent pour l’évasion, et aussi l’audace d’essayer.

Cette formidable rĂ©invention des films traditionnels de chasse au crime est l’un des meilleurs films d’Edgar Wright. Aussi, une cĂ©lĂ©bration Ă  grande Ă©chelle et bien construite, sur l’action avec une touche d’hommage cynique Ă  la culture pop. Pendant ce temps, le rĂ©alisateur rĂ©alise plusieurs des meilleures sĂ©quences de voitures de la dĂ©cennie et dĂ©montre sa capacitĂ© Ă  raconter des histoires avec un rythme incroyable.

Baby Driver est une combinaison bien pensĂ©e et mieux exĂ©cutĂ©e de tous les grands points du crime et du cinĂ©ma de gangs. Mais en mĂȘme temps, c’est un merveilleux voyage Ă  travers toutes sortes de rĂ©fĂ©rences Ă  un genre classique Ă  Hollywood. Rien de tout cela ne vous convainc ? Et si on vous disait qu’il possĂšde l’une des meilleures bandes sonores de ces derniĂšres dĂ©cennies ?

« Il était une fois au Pays Basque »

RĂ©aliste, parfois dur, mais inoubliable, le film de Manu GĂłmez analyse l’enfance Ă  partir d’un dĂ©cor compliquĂ©. Au milieu d’une sociĂ©tĂ© meurtrie par la violence et le poids du terrorisme, JosĂ© Antonio, Paquito et Toni vont tenter de profiter de l’étĂ©. Mais au-delĂ  de cela, essayez de comprendre le monde complexe des adultes et ses espaces sombres. Cela, alors que la peur devient un ennemi Ă  affronter et Ă  la fin, Ă  vaincre.

Peut-ĂȘtre que la vision de GĂłmez d’un pays divisĂ© et terrifiĂ© par la violence semble dure au milieu de la vision de l’enfance. Mais Il Ă©tait une fois en Euskadi, c’est une allĂ©gation sur ce qui survit au milieu de la terreur. De l’espoir comme dernier bastion Ă  dĂ©fendre et aussi, le voyage Ă  travers l’innocence comme espace insulaire.

Le tout, Ă  travers une recrĂ©ation correcte des annĂ©es 80 et une vision mĂ©lancolique de l’enfance et de la perte de l’innocence. Pour le meilleur ou pour le pire, les trois personnages centraux vont devoir grandir trĂšs vite. Mais en mĂȘme temps, ils pourront comprendre que la vie, telle qu’ils la connaissent, est la porte de l’expĂ©rience et le pouvoir des Ă©motions. Un voyage puissant que le film analyse avec une subtile Ă©lĂ©gance.

‘Jumanji’ et ‘Jumanji Bienvenue dans la jungle’

Le classique des annĂ©es 90 et sa suite, est l’un des temps forts de Netflix pour l’étĂ©. Surtout parce qu’il permet aux abonnĂ©s de doubler l’expĂ©rience du jeu de sociĂ©tĂ© le plus dangereux de la pop culture. D’une part, il y a la version originale mettant en vedette Robin Williams et transformĂ©e en un classique pour enfants aux racines considĂ©rables.

D’autre part, Netflix inclut la rĂ©invention la plus rĂ©cente de l’histoire, avec Dwayne « The Rock » Johnson, Jack Black et Karen Gillan. Entre les deux, la nostalgie et l’enthousiasme de deux gĂ©nĂ©rations de cinĂ©philes que le film rĂ©unit en parallĂšle.

L’histoire originale est bien connue des cinĂ©philes. Quand Alan Parrish se retrouve pris dans le mystĂ©rieux jeu Jumanji, sa vie va changer Ă  jamais. Dans ses versions les plus rĂ©centes, le vieux et redoutable jeu de sociĂ©tĂ© prend la forme d’un jeu vidĂ©o, ce qui multiplie les risques et l’ambition. Que vous prĂ©fĂ©riez l’ancienne version ou la version mise Ă  jour de l’histoire bien-aimĂ©e, Netflix vous donne la possibilitĂ© de choisir votre regard prĂ©fĂ©rĂ© sur l’intrigue.

« Maman Mia ! Encore et encore’

Le classique musical qui a fait chanter Meryl Streep, Pierce Brosnan et Colin Firth — pas si bien, il faut l’avouer — revient dans toute son Ă©trange lĂ©gĂšretĂ©. Que ce soit parce que vous aimez la bande-son pleine de classiques ou que l’enthousiasme charmant des acteurs essayant leurs meilleures performances vous touche. Toutes les raisons sont valables pour apprĂ©cier ce super petit hommage au genre musical et surtout sa puissante capacitĂ© Ă  raconter l’amour.

Dans son deuxiĂšme volet, le film ose mĂȘme bien plus que dans le premier. Cette fois, le film analyse le thĂšme de


SOURCE : Reviews News

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