Le ‘Kill Bill’ du rideau de fer qui triomphe sur Netflix

Le 'Kill Bill' du rideau de fer qui triomphe sur Netflix

😍 2022-09-01 04:30:00 – Paris/France.

Allez-y que c’est une série qui divertit et accroche tout au long de ses huit chapitres, et que c’est sûrement la plus buvable qui, par rapport aux séries, ait offert Netflix jusqu’à présent cette année, mais il est juste de reconnaître les dettes, et il est clair que l’Allemagne Cléo il les a avec la filmographie de Quentin Tarantino. un autre américain, Stephen Kinga ôté son chapeau sur ses réseaux sociaux à cette fiction allemande, qui n’a rien à voir avec la précédente série qui passionnait l’auteur de Carrie, qui était choses étranges.

Cléo Straub (Jella Haase) est une jeune femme qui fait partie d’un groupe top secret d’espions meurtriers du République démocratique allemande (RDA). Nous sommes en 1987, mais dans ce système paranoïaque monté par le Stasi dans lequel un frère pourrait dénoncer son père, il se passe quelque chose que la fille ne pouvait même pas imaginer, et encore moins étant la petite-fille d’un prêtre du régime communiste : elle finit en prison, je ne sais pas très bien la raison, ce qui augmente sa paranoïa.

Lorsque deux ans plus tard, il sort de prison – très différent de par ce qui s’y passe, et qu’on ne dévoilera pas pour ne pas tout vider – il cherche à se venger de tout et de tous. Le monde a changé et le mur est tombémais elle, qui a effectué des raids à l’ouest de Berlin, n’est pas étrangère à ce monde, comme cette dame de Au revoir lenin (2003), quoi de neuf ? Il se déplace comme un poisson dans l’eau. Et c’est alors qu’il commence à ajouter des victimes au Black Mamba / The Bride in Kill Bill (2003), c’est-à-dire au rythme criminel des survêtements meurtriers qui montraient umma thurman dans le célèbre film Tarantino.

Dans la série, on aura un « réveil » après un trip psychotrope comme celui de mia wallace (Uma Thurman) dans Pulp Fiction (1994), un accident le long Preuve de décès (2007) et les changements d’image du protagoniste en tant que Shosanna (Mélanie Laurent) par Maudits bâtards (2009).

Petit à petit, et en pourchassant une valise rouge qui est la macguffin de Cléola fille vindicative se lie d’amitié avec la police naïve sven (Dimitrij Schaad), un personnage qui semble tiré de amour à bout portant (1993) –avec un scénario, surprise, de Tarantino–, et pas seulement à cause de leurs chemises fleuries.

En réalité, le Tarentien va au-delà de l’esprit des personnages ou des clins d’œil plus qu’évidents. C’est une inspiration omniprésente, et l’exemple suprême est la mort comique et le débat moral qu’elle suscite.

« Pouvez-vous rire d’un meurtre? », c’est ce que vous vous demandiez alors que le théâtre éclatait de rire lorsque, dans Pulp Fiction, Vincent (John Travolta) abattu accidentellement Marvin dans la tête et a perdu la voiture qu’il conduisait Jules (Samuel L. Jackson), ce véhicule qui a ensuite laissé le simpar propre Loup. Quelque chose de similaire se produit dans Cléo, où le meurtre grotesque vous invite aussi à éclater de rire qui vous fait penser que vous êtes un être déshumanisé. C’est, même si cela n’en a pas l’air et que nous l’aimons, le Kleo qui joue dans cette intrigue, comme nous avons aimé le meurtrier de la série britannique tuant la veille (HBOMax).

Avant de conclure, je voudrais remercier que l’approche de l’Espagne saute les clichés, et que lors d’une fête qu’une famille organise à Majorque dans les années 90, le flamenco récurrent n’est pas joué mais le poison sur la peau –si approprié puisque nous parlons de Kleo– de Radio du futur. De bons conseillers ont cette série so tarentinienne.

SOURCE : Reviews News

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