đ¶ 2022-08-17 15:24:33 â Paris/France.
Rhett McLaughlin a un amour profond pour la musique country, grandissant avec une adoration dâenfance pour Merle Haggard et George Jones. Une partie de cela Ă©tait lâĂ©ducation; nĂ© en GĂ©orgie et Ă©levĂ© Ă Buies Creek, en Caroline du Nord, avant quâun dĂ©mĂ©nagement en Californie ne provoque lâĂ©closion de Mythical Entertainment au dĂ©but des annĂ©es 2010. AprĂšs des annĂ©es de performances comiques virales avec le meilleur ami et co-fondateur de Mythical Link Neal, McLaughlin se lance en solo pour produire un projet roots : James and the Shame. Le surnom associe son deuxiĂšme prĂ©nom Ă une « honte » globale, comme dans lâhistoire de la dĂ©construction de sa foi que le premier single « Believe Me » met en lumiĂšre.
En venant dans un foyer chrĂ©tien pieux, McLaughlin est finalement passĂ© Ă un Ă©tat dâesprit accueillant pour lâincertitude. Il a abandonnĂ© une perspective traditionnelle sur la foi qui le voyait autrefois travailler comme missionnaire Ă plein temps. Une grande partie du premier album de James and the Shame, Humain Ă la merfonde bon nombre de ses thĂšmes sur ce contexte.
Lâalbum contient des chansons qui ressemblent Ă des lettres musicales Ă des ĂȘtres chers, y compris les racines avant-gardistes de « Where Weâre Going ». Collaborant avec lâĂ©pouse de McLaughlin, Jessie, les deux offrent une performance chaleureuse et romantique qui rappelle lâAmericana de ce cĂŽtĂ© de Drew & Ellie Holcomb. Des Ă©lĂ©ments introduits dans la production comme lâacier Ă pĂ©dale mĂ©lodique et des percussions rĂ©guliĂšres placent la chanson dans un paysage sonore country contemporain.
« Jâai initialement Ă©crit cette chanson comme cadeau de la Saint-Valentin Ă Jessie, et je ressens de lâĂ©motion Ă chaque fois que je la chante », a dĂ©clarĂ© McLaughlin Ă PopMatters. « Elle ne savait pas que je lui demanderais de faire partie de la piste, mais elle Ă©tait plus quâheureuse de sauter dessus. Cela aide quâelle soit naturelle (et son diplĂŽme est en musique, en particulier en voix), donc je savais quâelle le ferait sortir du parc. Je peux signaler que nous ne nous sommes pas battus pendant que nous travaillions dessus. Donc, la romance est toujours intacte.
Concernant « Where Weâre Going » et sa crĂ©ation, McLaughlin dit: « Jâaime la façon dont celui-ci sâest avĂ©rĂ©. En fait, jâai Ă©crit celui-ci au dĂ©but du processus, avant mĂȘme de savoir que je faisais un album. CâĂ©tait quand jâĂ©crivais simplement ce que je traitais. Ă ce stade, je ne pensais mĂȘme pas que câĂ©tait une chanson country. Cela reprĂ©sente plus ou moins ce qui mâa semblĂ© bon sans aucune considĂ©ration dâun public au-delĂ de ma femme. Une fois que lâidĂ©e de lâalbum sâest dĂ©veloppĂ©e et que jâai commencĂ© Ă collaborer avec mon producteur, Derek Fuhrmann, les couches supplĂ©mentaires ont aidĂ© Ă façonner la chanson pour en faire ce quâelle est aujourdâhui.
Un clip vidéo réalisé par Ben Eck présente des moments de la vie partagée de Rhett et Jessie. Ils sont juxtaposés aux artistes qui se produisent ensemble dans un studio, échangeant des regards amoureux dans les moments calmes entre les couplets. Eck est un collÚgue de longue date de McLaughlin, ayant travaillé avec Mythical Entertainment pendant environ une décennie.
« Nous nâavions pas prĂ©vu de travailler ensemble sur aucun aspect du projet James and the Shame puisque Ben est occupĂ© par de nombreux autres projets chez Mythical », dĂ©clare McLaughlin. « Mais ensuite, il mâa approchĂ© pour me faire savoir Ă quel point il Ă©tait excitĂ© par le record et voulait aider avec tout ce quâil pouvait. Il a toujours Ă©tĂ© un collaborateur incroyable avec un Ćil incroyable et une capacitĂ© Ă donner suite Ă une vision. Je nâallais pas mây opposer. Nous savions que nous voulions embrasser la sincĂ©ritĂ© de la chanson, et je pense que les visuels font exactement cela.
Enfin, McLaughlin rĂ©flĂ©chit sur James and the Shame dans son ensemble, rĂ©flĂ©chissant sur ses sorties uniques et son LP entrant. « âBelieve Meâ est le premier morceau pour plusieurs raisons. Lâalbum est mieux apprĂ©ciĂ© dans son ensemble comme si jâemmenais lâauditeur avec moi alors que je procĂ©dais Ă mon Ă©volution spirituelle. Câest une sorte dâintroduction â Ă©tablissant une thĂšse pour lâensemble du projet â qui est : peu importe oĂč vous en ĂȘtes ou les hypothĂšses que vous apportez Ă la conversation plus large sur la dĂ©construction spirituelle, câest mon histoire. Vous nâĂȘtes pas obligĂ© dâĂȘtre dâaccord avec moi, et je ne vous le demande mĂȘme pas. Mais sâil vous plaĂźt, croyez-moi, câest en fait ainsi que jâai traitĂ© tout cela. Sur le plan sonore, « Believe Me » aborde des aspects plus historiques de la musique country, remontant aux annĂ©es 1950 et 1960, Ă©tablissant une base musicale Ă partir de laquelle le reste de lâalbum se dĂ©veloppe.
ââWhere Weâre Goingâ reprĂ©sente lâautre extrĂ©mitĂ© du spectre, Ă©tant plus moderne et pop, faisant savoir aux auditeurs que je ne joue pas seulement dans un bac Ă sable. Quant Ă savoir oĂč cela se situe dans lâarc plus large de lâalbum, il y a une sĂ©lection de chansons qui sâadressent aux gens que jâaime, « spĂ©cialement mes parents, mes enfants, et avec celui-ci, bien sĂ»r, ma femme ». Parce que les relations sont si profondĂ©ment affectĂ©es par les changements de vision du monde, je savais que ce serait une partie importante du projet.
SOURCE : Reviews News
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