Il ne dure que 4 heures et vous pouvez le regarder sur Netflix : cet anime fascinant est plein d’amour pour l’art

Il ne dure que 4 heures et vous pouvez le regarder sur Netflix : cet anime fascinant est plein d'amour pour l'art

😍 2022-04-10 10:01:35 – Paris/France.

La bonne chose (et aussi la mauvaise, selon la façon dont vous nous attrapez) des courtes saisons d’anime est que vous pouvez faire un marathon intense en un aprĂšs-midi et souffler tous les chapitres en une seule sĂ©ance. Et c’est qu’avec le week-end Ă  nos portes, c’est le moment idĂ©al pour enfin donner une chance Ă  « PĂ©riode bleue » s’il figurait toujours sur vos listes de sĂ©ries en attente.

Le manga original de Tsubasa Yamaguchi est publiĂ© dans le Monthly Afternoon de Kondasha depuis 2017, et malgrĂ© le fait qu’il ne comporte « que » 11 tomes, il est devenu l’une des sĂ©ries Ă  prendre en compte. ‘PĂ©riode bleue’ Il a dĂ©jĂ  des millions de fans accrochĂ©s Ă  travers le monde, donc l’adaptation de l’anime Ă©tait inattendue.

L’art comme inspiration pour vivre

Cette « tranche de vie » suit yatora yaguchi, un Ă©tudiant relativement populaire mais un peu dur Ă  cuire qui traĂźne avec ses amis dans la rue et a en fait l’impression que sa vie est un peu vide. Un jour, il tombe sur la toile sur laquelle travaille un camarade de classe dans le club d’art de son lycĂ©e et tombe complĂštement amoureux de la peinture.

DĂšs lors, et grĂące aux sentiments que cette peinture suscite en lui, Yaguchi se met Ă  peindre. Petit Ă  petit, il s’implique davantage dans le club d’art et ses compĂ©tences de peintre s’amĂ©liorent au fur et Ă  mesure qu’il dĂ©couvre de nouvelles sensations et une nouvelle joie de vivre.. Alors qu’il s’intĂ©resse de plus en plus Ă  la peinture, Yaguchi dĂ©cide de se prĂ©parer Ă  entrer Ă  l’UniversitĂ© d’art de Tokyo, malgrĂ© les examens trĂšs difficiles et le faible taux d’acceptation.

D’entrĂ©e, « PĂ©riode bleue » Ce n’est pas un anime avec beaucoup d’action, ni une comĂ©die pour adolescents avec beaucoup d’humour. Non, ce n’est pas un drame, mais il a un rythme et un ton plus lents qui peuvent ne pas convenir Ă  tout le monde. Au final, c’est l’histoire d’un adolescent qui sent qu’il n’est pas tout Ă  fait Ă  sa place avec rien ni personne et qu’il n’a aucune aspiration pour l’avenir jusqu’à ce que son nouvel amour pour l’art lui donne de nouvelles raisons d’aller de l’avant.

C’est une histoire qui vous accroche par la profondeur de ses personnages, pas seulement pour Yaguchi mais pour certains de ses pairs comme Ryuji Ayukawa et Yotasuke Takahashi, qui ont leurs propres drames et frustrations avec ses capacitĂ©s artistiques. ‘Blue Period’ est un drame beaucoup plus introspectif, auquel on peut se sentir identifiĂ© sans avoir Ă  avoir des aspirations artistiques simplement parce que cela reflĂšte bien le fait d’ĂȘtre Ă  ce stade de l’adolescence oĂč vous ne savez pas vraiment ce qu’il adviendra de vous.

Et attention, tout de mĂȘme, il explore tout le processus de peinture de maniĂšre trĂšs efficace et pour ceux qui dĂ©couvrent, il dĂ©couvrira plus d’une curiositĂ©. Car comme le dĂ©couvre Yaguchi, peindre ce n’est pas seulement prendre un pinceau et se donner Ă  fond, cela demande de l’observation, de la planification, de la pratique et une sĂ©rie d’élĂ©ments qui l’aident non seulement Ă  ĂȘtre un meilleur artiste mais aussi dans sa vie quotidienne et dans sa vie. relations avec ceux qui les entourent.

‘Blue Period’ prend son temps pour que vous puissiez profiter de l’expĂ©rience

« Période bleue » exalte tout le travail derriÚre une peinture finie. Non seulement cela, il démolit également plusieurs mythes tels que le talent inné est la seule chose qui compte, tout en nous rappelant que les artistes sont souvent des personnes avec leurs propres névroses et insécurités et comment celles-ci influencent leur travail.

Vous devez avertir que ne vous attendez pas Ă  une animation Ă©blouissante au niveau de ‘Kimetsu no Yaiba’ ou mĂȘme ‘Komi-san ne peut pas communiquer’, pour n’en nommer qu’un autre tranche de vie. L’animation de ‘Blue Period’ est principalement fonctionnelle, ce qui permet d’obtenir beaucoup d’expressivitĂ© pour les personnages et un mĂ©lange de styles trĂšs surprenants, en particulier dans les sĂ©quences sur la peinture, mais ce ne sera pas la premiĂšre chose qui attirera l’attention sur l’anime.

La premiĂšre saison de « PĂ©riode bleue » Il se compose de 12 chapitres que l’on peut voir sur Netflix, et ce qu’on peut reprocher Ă  l’anime produit par Sept arcs c’est que malheureusement il a un rythme trĂšs irrĂ©gulier. Les premiers chapitres sont fusillĂ©s pour Ă©lever la motivation principale le plus tĂŽt possible et Ă  de nombreuses reprises, ils s’arrĂȘtent Ă  peine pour nous prĂ©senter le reste des personnages secondaires. Et puis au milieu de la sĂ©rie le rythme devient parfois trop lent, explorant davantage le cĂŽtĂ© philosophique et intelligent de l’histoire.

Bien que ce soit peut-ĂȘtre prĂ©cisĂ©ment pour cette raison que ‘Blue Period’ est l’un de ces animes qui sont apprĂ©ciĂ©s plus d’une fois, afin de mieux apprĂ©cier l’arc de caractĂšre que traverse son protagoniste et de prendre notre temps pour absorber tout ce que ses crĂ©ateurs ils veux nous dire.

SOURCE : Reviews News

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