🍿 2022-11-20 14:00:31 – Paris/France.
L’université est une période clé pour beaucoup, où l’on peut nouer (des) amitiés qui durent tout au long de la vie mais, surtout, où l’on peut trouver l’occasion de développer son esprit, sa curiosité ou son esprit critique. C’est si certains ne finissent pas par vous démotiver tendances académiques absolument stagnantes et répulsives.
Il y a certains éléments de l’académie qui sont tout à fait un obstacle pour pouvoir susciter une véritable curiosité à son sujet. Que ce soit un champ de créativité et de connaissance. Il y a, par contre, les gens aisés coincés dans certaines façons de faire qui empêchent une évolution appropriée de l’écosystème universitaire. Quelque chose dont ‘Le réalisateur’ parle avec beaucoup de succès.
la merveilleuse université
Cette petite surprise disponible sur Netflix nous a fait découvrir le monde des universités nord-américaines, mais il y a sûrement des choses qui ne sont pas complètement éloignées de l’expérience locale. Lancement de la série d’Amanda Peet, produite par David Benioff et DB Weiss (oui, les mêmes de ‘Game of Thrones’) fléchettes tranchantes contre les faux progrès de l’académieles dinosaures qui le composent et, aussi, la culture de l’annulation.
En seulement six épisodes d’une demi-heure, nous voyons le département de littérature anglaise d’une université prestigieuse, où la directrice nouvellement nommée (Sandra Oh) doit tenter de revigorer l’intérêt des étudiants pour les matières tout en rencontrant une pléthore de professeurs vétérans réticents à la nouvelle méthodes d’enseignement. Tel que choc générationnel qui détermine plusieurs des tracés principaux de la série.
L’autre est liée à la relation complexe entre le personnage de Sandra Oh et celui de Jay Duplass. Ce dernier devient l’objet de polémique pour quelques propos malheureux lors d’un cours et son retrait du département est réclamé. La grande amitié qu’ils entretiennent est celle qui évite le renvoi immédiat, mais ils ne vont pas s’arrêter il se passe des choses qui vont tout compliquer.
‘Le réalisateur’ : morsure sophistiquée
Sa durée de trois heures en fait un plat assez facile à digérer, mais ce qui fait que ‘The Director’ vous divertit vraiment, c’est sa comédie bien gérée, aussi sophistiqué dans le ton qu’il est chargé d’une énorme mauvaise boue dans votre message. Il veut certainement couvrir des aspects très ambitieux en termes de sujet, ce qui le rend un peu trop compliqué sur certains points.
Cependant, il est assez léger pour compenser tous les dégâts dans lesquels il choisit de se mettre, et il a un casting vraiment exquis qui donne de la couleur à tout ce groupe de personnages. De cette façon, il parvient à rendre ses attaques contre l’académie élégantes et à pouvoir créer un écosystème vivant où il n’a pas la flemme d’entrer.
SOURCE : Reviews News
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