Il dure moins de 3 heures et vient d’arriver sur Netflix : ‘Tekken : Bloodline’ se fraie un chemin entre


Il dure moins de 3 heures et vient d'arriver sur Netflix : 'Tekken : Bloodline' se fraie un chemin entre...

🍿 2022-08-20 12:01:22 – Paris/France.

Netflix Il tournait dĂ©jĂ  Ă  plein rĂ©gime depuis quelques annĂ©es en matiĂšre d’adaptations vidĂ©oludiques, mais cette annĂ©e il a pris le turbo trĂšs fort. Ce mĂȘme mois, la troisiĂšme saison de « DOTA : Blood of the Dragon » et la deuxiĂšme de « The Cuphead Show ! » viennent de sortir, mais entre-temps, un nouveau combattant est arrivĂ© sur la piste : « Tekken : lignĂ©es de sang ».

PossĂ©der Katsuhiro Harada a Ă©tĂ© trĂšs impliquĂ© dans la production de l’anime et Ă  l’époque il voulait rassurer les fans de la franchise de jeux vidĂ©o emblĂ©matique sur la fidĂ©litĂ© de l’adaptation. Maintenant, comment cela a-t-il fonctionnĂ© en tant que sĂ©rie animĂ©e?

Entretenir les fondations et combler les vides

Quelque part, vous devez commencer Ă  vous adapter et les responsables de ‘Tekken : Bloodline’ ont dĂ©cidĂ© de commencer par les Ă©vĂ©nements de ‘Tekken 3‘ la recherche de l’histoire familiale de Jin Kazama.

Jin a vĂ©cu toute sa vie avec sa mĂšre. Jun Kazama, qui l’a formĂ© comme artiste martial. Lorsqu’un ancien dĂ©mon connu sous le nom de ogre dĂ©truit sa maison et tue Jun, Jin commence Ă  s’entraĂźner avec son grand-pĂšre Heihachi Mishima en espĂ©rant devenir plus fort.

AprĂšs des annĂ©es de prĂ©paration, Jin participe Ă  le tournoi du roi du poing de fer dĂ©fendre l’hĂ©ritage de sa famille pour venger la mort de sa mĂšre.

D’un cĂŽtĂ©, l’adaptation de ‘Tekken’ est dĂ©jĂ  compliquĂ©e par la limitation de l’intrigue, il a donc Ă©tĂ© judicieux de commencer par le troisiĂšme opus et de se concentrer sur un personnage avec plus d’histoire et avec lequel nous pouvons sympathiser un peu mieux. Bien qu’en gĂ©nĂ©ral il soit restĂ© assez fidĂšle Ă  l’esprit des jeux vidĂ©o, quelques modifications ont Ă©tĂ© apportĂ©es qui ont surtout servi Ă  combler les lacunes de l’intrigue.

La premiĂšre partie de la sĂ©rie se concentre principalement sur l’entraĂźnement de Jin avec Heihachi (et toutes ses angoisses d’adolescent), avec un trĂšs bon rythme qui nous apporte surtout la tension familiale et la prĂ©paration exhaustive du tournoi. Ce qui nous laisse pratiquement la seconde moitiĂ© de l’anime pour explorer pleinement les combats et tous les participants, c’est lĂ  que nous avons vraiment eu la bonne chicha.

En gĂ©nĂ©ral, ‘Tekken: Bloodline ‘reste assez fidĂšle Ă  l’histoire originale, avec quelques modifications mineures nĂ©cessaires Ă  l’intrigue mais qui fonctionnent bien dans l’anime.. La mauvaise nouvelle est qu’il ne faut pas s’attendre Ă  un grand dĂ©filĂ© de personnages de la franchise, car de nombreux combattants apparaissent comme des camĂ©es rapides et d’autres ont perdu beaucoup d’importance en cours de route.

Parce que l’anime est fidĂšle Ă  son nom de « Lineage » et se concentre principalement sur Jin et sa famille, le reste des personnages Ă©tant en arriĂšre-plan et mĂȘme un peu flou. Leroy Smith ou King s’en sortent plutĂŽt bien et ont un peu plus de recul, mais malheureusement les six Ă©pisodes de la sĂ©rie ne donnent pas beaucoup plus de temps.

MĂȘme ainsi, et comme nous l’avons dit plus haut ‘Tekken: Bloodline‘ a un trĂšs bon rythme et Ça dure le temps qu’il faut pour ne pas ĂȘtre miĂšvre et aller droit au but de l’action. On a presque l’impression que c’était prĂ©vu comme un film de deux heures, mais le format en sĂ©rie avec les coupes appropriĂ©es l’a bien servi pour maintenir la tension entre les combats et cela ne semble pas avoir affectĂ© la qualitĂ© de l’animation.

commencer le combat

Studio Hibari et Larx Entertainment Ils ont Ă©tĂ© en charge de la production de l’anime, qui malgrĂ© ses limites nous a laissĂ© plusieurs moments avec une animation CGI trĂšs puissante.

Comme prĂ©vu, l’animation est un peu limitĂ©e dans les scĂšnes moins intenses comme les dialogues et les moments plus calmes. Malheureusement, la modĂ©lisation et le type d’animation limitent aussi un peu l’expressivitĂ© des personnages, mais le bon doublage compense largement (et attention, Isshin Chiba rĂ©pĂšte avec la voix de Jin dans l’anime).

La bonne partie est que prĂ©cisĂ©ment ce type d’animation nous permet de proposer des sĂ©quences impressionnantes et brille surtout pendant les combats. Les duels sont superbement chorĂ©graphiĂ©s avec des coups tout droit sortis des jeux et rendent Ă©galement hommage aux combos d’attaque et mĂȘme aux effets de chaque coup.

PrĂ©cisĂ©ment avoir optĂ© pour l’animation CGI nous permet d’entrer dans des virages de camĂ©ra et des angles trĂšs dynamiques qui font du combat le point culminant de l’anime. Peut-ĂȘtre que le style anguleux et la finition cell-shading ne sont pas pour tout le monde, mais cela fonctionne parfaitement pour ce type de sĂ©rie et les scĂšnes de combat dans la derniĂšre partie sont vraiment spectaculaires.

‘Tekken : Bloodline’ prouve qu’un jeu vidĂ©o peut ĂȘtre adaptĂ©, et plus une lutte, restant parfaitement fidĂšle Ă  l’esprit du matĂ©riel source. Maintenant, si vous n’ĂȘtes pas trop fan de ‘Tekken’, vous pouvez toujours vous mettre dans le pĂ©trin car l’anime Netflix nous donne suffisamment de bogues pour s’intĂ©resser Ă  l’histoire de Jin, mais bien sĂ»r c’est parfait pour les jeunes tĂ©lĂ©spectateurs .les joueurs.

SOURCE : Reviews News

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