‘First Class’ : Candy Candy entre bouse et 8 autres moments fous de la tĂ©lĂ©

'First Class' : Candy Candy entre bouse et 8 autres moments fous de la télé-réalité la plus surréaliste de Netflix

😍 2022-07-05 17:01:48 – Paris/France.

Netflix doit penser qu’en Espagne on s’ennuie beaucoup car ce n’est pas la premiĂšre Ă©mission de tĂ©lĂ©-rĂ©alitĂ© espagnole qui nous amĂšne les gens avec des pĂątes « profitant de leur temps libre ». Nous allons passer en revue les moments les plus passĂ©s du fil de ‘First Class’, le gĂ©nĂ©rateur de surrĂ©alitĂ© des mĂšmes hĂ©ritier de ‘I am Georgina’.

Maman, je veux ĂȘtre artiste

L’un des spĂ©cimens les plus remarquables de la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© est Aldo, qui se prĂ©sente comme « un homme de la Renaissance dans la postmodernité ». Vos hobbies? « Prenez soin » de sa ferme, parachutez et peignez des tableaux
 singuliers. Il nous prĂ©sente son travail dans le premier chapitre, pour nous convaincre que l’art donne un sens Ă  sa vie : « Peut-ĂȘtre ai-je Ă©tĂ© peintre dans une autre vie » (oui, ma chĂ©rie, car dans celle-ci je te dis non).

sainte patience

Dans un monde idĂ©al, dans lequel ‘PremiĂšre classe’ n’était que fiction, Álex serait le secondaire gĂąchĂ© de l’histoire. L’assistant d’Archie doit supporter l’ignorance constante de son patron, qui semble avoir trouvĂ© en lui un bon punching-ball pour se venger. « Alex en tant qu’assistant est un zĂ©ro » est la chose la plus gentille qu’il dise de lui dans toute l’émission : catastrophe, horreur, il sent mauvais, c’est une salope
 avec des amis comme ça.

pas sans mon chirurgien

Ce petit groupe d’hĂ©donistes aime la chirurgie et c’est un thĂšme rĂ©current. Nous ne savons pas si nous devons rester avec le « parler mĂ©sange » (« Je suis toute naturelle sauf pour mes seins » commence Zaida. « Un de mes seins s’est retournĂ©, bien sĂ»r, avec tant de yoga » rĂ©pondit Clara) ou l’implant capillaire (« J’ai eu des cheveux parce que j’avais un hĂ©liport jusqu’à ici » dit Álex).

Sans aucun doute, le moment phare serait la prĂ©sentation de Clara : « Je n’ai aucun dĂ©faut, Ă  part le Botox », juste aprĂšs avoir prĂ©cisĂ© que il ne rit jamais donc il n’a pas de rides.

Bonbon « Clary »

RĂ©affirmant que la grande dĂ©couverte de cette Ă©mission de tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© est Clara, car elle-mĂȘme met beaucoup de mĂšmes dans des Ɠufs. « Je ressemble Ă  Candy Candy » commente-t-elle sur la robe qu’elle a choisie pour visiter la ferme d’Aldo. « C’est la premiĂšre fois que je suis si prĂšs d’un animal. Ça sent bizarre » dit-elle un peu inquiĂšte en regardant la vache qui broute Ă  cĂŽtĂ© d’elle. « Moi ici avec ma petite merde de tombola Gucci » rappelez-vous juste avant de voir qu’il ne passe pas par la porte du poulailler.

Allez boĂźte Ă  paella

Le chapitre de la ferme est une mine d’or mais nous ne soulignerons que deux autres moments : l’énorme dĂ©ception qui finit par ĂȘtre la paella d’Aldo (« C’était immangeable », « Tout est de la faute de Joan Escribà » fait remarquer Aldo au maĂźtre cuiseur Ă  riz qui n’a que sentait ci-dessus) et le dĂ©bat sur l’art dans lequel tout le monde est appĂątĂ© avec Zaida pour avoir dit que la peinture de son ami ne correspondrait pas Ă  son canapĂ©: « Elle est ignorante » dit sans ambages LucĂ­a.

je suis mocatriz

DĂšs le dĂ©but, Clara insiste sur le fait que son rĂȘve est d’ĂȘtre actrice et ses amis lui font passer une audition avec un cĂ©lĂšbre metteur en scĂšne de thĂ©Ăątre. DĂšs que ça commence, l’homme est dĂ©jĂ  Ă  carreaux quand elle sort ses « enfants » de son petit sac (quelques petites poupĂ©es effrayants qui collecte) et les met pour le rendre public.

Mais son visage des circonstances est encore plus Ă©vident aprĂšs que Clara lui ait chantĂ© « Lo interdit » et rĂ©pĂ©tĂ© le monologue de « Autant en emporte le vent ». « Parce que Scarlet Ă©tait une femme, j’ai pensĂ© jouer une femme », explique-t-elle.

soirée de couchage

Il faut voir Ă  quel point les gens sont riches, qui ne supportent mĂȘme pas un dĂźner sans faire le leur. Car peu importe si leur amie Julie a consciencieusement prĂ©parĂ© un gala de charitĂ©, ils s’inquiĂštent seulement d’avoir Ă©tĂ© sĂ©parĂ©s Ă  table et commencent Ă  changer les noms des lieux. « Imaginez que je suis avec quelqu’un que je ne connais pas du tout. C’est trĂšs stressant de penser Ă  des sujets de conversation. »

Ils n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  exprimer leur dĂ©goĂ»t pour la soirĂ©e et Ils n’ont pas Ă©tĂ© assez longs pour s’endormir sur le dessus de l’assiette: « C’est que les galas de charitĂ© me paraissent ennuyeux, et s’ils sont pour les femmes, encore plus », souligne Clara.

les cartes ne mentent pas

L’une des personnes qui gĂąche le plus est le lecteur de tarot, qui distribue les cartes plusieurs fois parce qu’il n’a pas aimĂ© le rĂ©sultat. Il prĂ©dit Ă  Clara qu’elle Ă©pousera son partenaire mais qu’il y aura un deuxiĂšme homme dans sa vie, une option qui l’horrifie au dĂ©part. « Mais
 tu as de l’argent ? C’est ce qui compte pour moi ».

Alors qu’il parle Ă  Amanda d’une femme envieuse qui va la boycotter de l’ombre et tout le monde pense que c’est Carola, son ex-petite amie qui est aussi dans le groupe. « Comment vais-je ĂȘtre moi ? Avec tout ce que j’ai fait pour elle », se plaint celle-ci. « Je ne la bloque sur mobile que de temps en temps. »

Quel est votre métier ?

Peu de choses sont plus surrĂ©alistes que la fin. Sans entrer dans les dĂ©tails, le petit groupe d’hĂ©donistes termine comme il a commencĂ© et lance son message au monde, la raison d’ĂȘtre de ce programme : « Qu’importe ce que les gens pensent ? Faire ce que l’on veut, c’est le vrai luxe ». Allez, ce qui Ă©tait Ă  l’époque « les riches aussi pleurent » est devenu aujourd’hui « comment vont-ils pleurer s’ils peuvent sĂ©cher leurs larmes avec des billets de 500 euros ? ». Instructif, oui, monsieur.

SOURCE : Reviews News

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