✔️ 2022-10-26 12:15:00 – Paris/France.
Checo Pérez marche sur sa Red Bull après avoir remporté le Grand Prix de Singapour. Clive Rose (Getty Images,)
Au temps de diffusion, il semble presque une obligation que chaque athlète ait son propre documentaire ou, comme l’exigent les nouvelles préférences, une série documentaire ou même un film. Sergio tchèque Pérez, l’idole mexicaine, ne pouvait pas manquer.
Si quelque chose a déclenché l’euphorie de la Formule 1, c’est la série Conduire pour survivre (2019), qui raconte à l’ABC de comprendre le monde des moteurs et de leurs pilotes téméraires qui roulent à plus de 250 kilomètres à l’heure. La série Netflix a construit un récit que les plus experts et le personnel de F1 lui-même ont généré un rejet. De l’exagération des sons sur la piste, les conflits artificiels entre pilotes et même le ridicule de certains d’entre eux.
Les contrariétés ont été variées, comme celle de l’actuel double champion de Formule 1, Max Verstappen, qui s’est opposé à participer aux deux dernières saisons car, selon lui, ce n’est pas une personne qui aime les spectacles dramatiques. « Je veux juste voir des faits et des choses réelles », a-t-il déclaré en 2021. Un autre pilote qui n’était pas non plus d’accord avec la série était Checo Pérez.
Les affronts entre conduire pour survivre et Pérez ont eu lieu lors de la première saison. Cette année-là, il a participé à Racing Point (aujourd’hui Aston Martin). La série a attiré le Mexicain comme un chauffeur-payeur, traduit par un pilote qui obtient une place en Formule 1 grâce, et uniquement grâce, à l’argent, contrairement à son partenaire d’alors, Esteban Ocon, qui était présenté comme le « pauvre » pilote qui allait perdre sa place parce que le propriétaire de l’équipe , Lawrence Stroll, le donnerait à son fils, Lance. Le récit n’est pas bien passé dans le cercle du pilote mexicain.
Dans la saison 2020, la série a consacré un épisode au Mexicain, où ils étaient plus bienveillants, et a reconnu l’exploit de remporter sa première course en une décennie en Formule 1. Cela lui a ouvert la porte pour se rendre à Red Bull et il semblait que Pérez serait l’un des personnages centraux. Le Mexicain a permis à la production Netflix de l’enregistrer à tout moment lors du Grand Prix de Mexico l’année dernière. Ce journal a pu le confirmer. Cependant, les producteurs n’ont pas utilisé le matériel au cours de la dernière saison. « J’ai fait beaucoup pour eux. Cette année, je ne vais pas en faire autant. Donc si je peux leur échapper, je le ferai », a déclaré l’athlète il y a quelques mois.
Checo Pérez, lors d’une conférence de presse en 2012, alors qu’il appartenait à l’équipe Sauber Clasos (LatinContent via Getty Images)
Après le désaccord avec Netflix, Pérez a reçu de nouvelles offres pour réaliser une série documentaire. Le premier est venu de chez lui avec Grupo Carso, le conglomérat d’affaires de la famille Slim, qui le soutient depuis son adolescence avec l’aspiration de vivre du sport automobile. Le documentaire ne jamais abandonner, créé le 16 octobre, revient sur la trajectoire du Mexicain depuis ses origines dans le karting jusqu’à sa route difficile pour obtenir une opportunité sur les circuits européens. Les entretiens avec Carlos Slim Domit, par exemple, révèlent la construction de Pérez en tant que pilote d’élite dans le documentaire visible sur la plateforme Clarovideo.
ne jamais abandonner il a le problème de ne pas montrer les images des exploits ou des actions sur la piste, comme c’est le cas Conduire pour survivre. Malgré cela, il a des vidéos familiales où l’on peut voir Pérez en tant qu’enfant qui a concouru en karts et la fois où il a été interdit de courir et que sa petite voiture a été retirée de la piste. De plus, le documentaire prend la défense du Mexicain face aux critiques sur son soutien à la famille Slim. « Le pilote doit gagner sa place, chacune des places que nous avons occupées est due aux efforts des pilotes et des personnes qui les entourent », déclare Jimmy Morales, directeur de l’Escudería Telmex.
Disney, via ESPN et la plateforme Star +, présentera en première une mini-série documentaire intitulée Tchèque. Et vive le Mexique ! qui se concentre sur quatre courses de la campagne 2022 en cours : Singapour, le Japon, les États-Unis et le Mexique. La date de sortie sera jusqu’au 4 novembre. Selon l’entreprise, elle est sollicitée en un temps record pour raconter l’intimité du pilote mexicain en ce qui a été sa quatrième victoire en Formule 1 sur les pistes de Singapour, sa deuxième place à Suzuka, son bain de masse à Austin et ce qui peut arriver ce week-end au Grand Prix de Mexico.
L’équipe marketing de la Formule 1 elle-même et Red Bull, qui travaillent aussi vite que leurs mécaniciens, ont consacré de petits documentaires au Mexicain, comme son ascension en Formule 1, l’euphorie qui s’est déchaînée lors du Grand Prix du Mexique 2021, son triomphe. à Monaco ou encore l’un des souhaits les plus chers de Pérez : être avocat.
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SOURCE : Reviews News
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