🍿 2022-06-23 15:09:35 – Paris/France.
Avec la bonne perspective, il est assez impressionnant de voir jusqu’où Netflix a poussé une série télévisée espagnole comme Le vol d’argent (2017-2021), dont nous n’aurions probablement profité dans ce pays que si la compagnie de diffusion Je n’aurais pas décidé d’acquérir les droits et de miser dessus. Et maintenant avec deux retombées prévu, un centré sur le Berlin de Pedro Alonso, est rejoint par un inattendu refaire Oriental: Là la maison du papier : Corée (depuis 2022).
Il ne fait aucun doute que le moule de celui créé par Álex Pina est là, mais la version qu’il a réalisée Kim Hong Seon il s’avère très différent.
Pour commencer, non seulement le contexte géographique est différent, mais ses auteurs choisissent d’aller dans un futur très proche et inventent un changement considérable de la situation. De plus, malgré le fait que la ressource du narrateur persiste à chaque chapitre avec la voix en à l’arrêtdédaignent les énigmes de leur passé et les plus polyédriques et choisissez le commun.
Ils sont à visage découvert, donc l’intrigue consiste à découvrir ce qui se passera ensuite. Mais La maison du papier : Corée Il échoue sur plusieurs aspects importants.
D’une part, les acteurs et leurs personnages principaux ils manquent du charisme nécessaire être placé à la hauteur des Ibères. Et, si l’on analyse le Professeur de Yoo Ji-tae, il semble indiscutable que notre Álvaro Morte ait pris soin d’apporter au sien bien plus de nuances.
La maison du papier : Corée
La maison du papier : Corée, réalisé par Kim Hong-seon, est tellement sans âme et médiocre qu’il ne nous fait même pas nous inquiéter de ce qu’il advient de ses personnages principaux. La situation politique futuriste du pays qu’il nous propose semble assez curieuse, mais cela reste flou car ni le scénario n’a l’éloquence et l’étincelle de l’écriture des Espagnols, ni l’intrigue ne parvient à nous absorber à aucun moment, ni la proposition audiovisuelle brille le moins. Si vous voulez que cette histoire soit bien racontée, vous feriez mieux de vous en tenir à la série originale.
⭐⭐
Note : 2 sur 5.
‘The paper house: Korea’, un braquage dont on se fout
Dans ce pâle reflet de la proposition d’Álex Pina, la perspective héroïque des voleurs n’est pas très bien construite, tout au plus, des sujets surtout désagréables et presque toujours puérils, et nous ne ressentons même pas d’empathie pour eux, quelque chose d’essentiel dans une histoire comme celle-ci. Ni, la vraisemblance, qui souffre dans les rebondissements, les solutions et dans l’évolution sentimentale de certains personnages. Ou une éloquence même similaire à celle trouvée dans les scripts de vol espagnols.
Netflix
Leur développement de routine est précipité, avec Kim Hong-seon pas très attentif aux détails ou au fait qu’ils ont mis en scène les épisodes de La maison du papier : Corée avec un rythme intempestivement sauvage parfois. Et, bien qu’ils nous fournissent une mise en scène et une planification avec une certaine vigueur, parfois excessive dans des transitions accélérées d’une approche à l’autre, ils ne se rapprochent pas de la mise en scène très puissante de l’oeuvre primitifbeaucoup plus détaillé et loin d’être fonctionnel.
Ce dernier est le fruit d’une imagination fébrile et d’un talent très évident pour la composition audiovisuelle, et chaque détail a été pensé par Álex Pina et son équipe pour susciter et entretenir l’hypnose des spectateurs. Mais le cinéaste coréen, à qui l’on devait déjà plusieurs chapitres d’autres séries comme Le noir (2017), Voix (2017-2019), Fils : l’invité (2018) ou Lucas (à partir de 2021), Il n’atteint même pas la hauteur du bitume tout seul, à ce qu’il paraît.
Un casting connu dans le monde entier pour manquer
D’autre part, le compositeur Kim Tae-seong aurait aimé livrer une partition avec l’énergie écrasante qui résonne dans nos oreilles grâce à Iván Martínez Lacamara et Manel Santisteban, qui a même des échos de celle de Hans Zimmer pera interstellaire (2014) ou Tom Holkenborg pour Mad Max: Fury Road (2015). Il n’y a rien, mes amis. Alors que celle du musicien oriental pour La maison du papier : Corée se conforme mais ne provoque pas d’extase quelques.
Netflix
Triste est la reconnaissance que Kim Hong-seon a essayé de rassembler dans les sans âme refaire de Netflix à une poignée de interprètes dont le public international se souvient de productions à succès. Jeon Jong-seo, son Tokyo, joue Shin Hae-mi dans brûlant (2018); Yoo Ji-Tae, le professeur, que nous identifions par le Woo-jin Lee de vieux garçon (2003); et Kim Yoon-jin, une copie de Raquel Murillo dans le rôle de Seon Woojin, pour son Sun-Hwa Kwon du célèbre perdu (2004-2010).
Mais ne sont pas les seuls. Le Berlin de La maison du papier : Corée possède le visage de Park Hae-soo, dont Cho Sang-woo le jeu du calmar (dès 2021) vous ne l’aurez pas oublié ; et Park Myeong-hoon, dans le rôle de son Arturito particulier en tant que Cho Youngmin, n’est autre que Geun Se, de l’acteur oscarisé parasites (2019). Et son implication ne suffit pas pour que les six premiers chapitres prennent leur envol cette médiocrité rampante qui nous atteint dans diffusion de l’est.
SOURCE : Reviews News
N’hésitez pas à partager notre article sur les réseaux sociaux afin de nous donner un solide coup de pouce. 🤓