✔️ 2022-06-28 15:20:56 – Paris/France.
L’univers de ‘The paper house’ revient sur Netflix, cette fois de Corée, avec un manque d’idées notable
Revue | Avis de la première saison de ‘The paper house : Korea’complète sur Netflix à partir du vendredi 24 juin.
Dans le monde du divertissement d’aujourd’hui, où le célèbre propriétés intellectuelles sont à la hausse, Netflix ne pouvait pas manquer l’occasion de presser l’une de ses séries les plus populaires. La renommée mondiale acquise par la version originale de « Le vol d’argent » c’était un phénomène inattendu et la plateforme de Streaming semble vouloir continuez à profiter de cela
Sans plus d’incitation que celle de la série mère, « La maison de papier : Corée » veut, par tous les moyens, recréer le phénomène qui a rendu le monde fou il y a quelques années. Est des loisirs est telle que nous sommes pratiquement confrontés à une série tracée. Netflix a fait le minimum d’efforts et a livré un produit répété quel connard d’écolier.
Le synopsis est le même que celui de la série espagnole : un un groupe de voleurs s’enferme dans une menthe face à une course contre la montre pour imprimer des billets d’une valeur 4 000 milliards de wons (près de trois milliards d’euros). Pendant ce temps, à l’extérieur du bâtiment, la police tente de les arrêter ainsi que le chef du gang, le professeur.
Comme on peut le voir, la base de ce remake coréen est la même. Et ici le premier problème visible se pose. Netflix tombe dans le conformisme en nous racontant la même histoire, mais dans un contexte socio-politique différent, avec très peu de nouvelles. Oui déclinant la possibilité d’élargir son univers avec de nouvelles histoires qui, bien que dérivé de l’original espagnol, surprend le spectateur.
allons y avec nos impressions et opinions sur ce Netflix ‘The paper house: Korea’.
Le nouveau masque de ‘The paper house : Korea’. Une des rares choses originales.
La fièvre coréenne de Netflix
La seule raison d’être de ‘The paper house: Korea’ semble être de s’adapter à un marché aussi différent que le coréen, qui semble être une mine d’or pour la plateforme avec de grands succès comme ‘The Squid Game’ ou ‘My Name’. Cependant, c’est loin d’être à la hauteur de la qualité et surtout de l’originalité des productions précitées. Et il reste à voir si cela excitera également le public. Chose que, étant une copie, je vois assez improbable.
S’il y a un point en faveur de la série, c’est son capacité à s’adapter à un lieu et à un public totalement différents. De manière originale, et sans servir de précédent pour la suite de la saison, place le complot dans un futur hypothétique où les deux Corées ont été unifiées avec les problèmes territoriaux et démographiques que cela implique. L’histoire des personnages, précédant le braquage, est intéressante, chacun d’eux ayant une bonne raison d’y participer. L’unification avec la Corée du Nord leur a causé des problèmes économiques, et ils sont même considérés comme des parias par leurs voisins du sud. Cette idée séduisante semble être la seule qui éloigne les personnages de leurs homonymes.
Pour le reste, il y a peu à dire sur son personnages que les spectateurs qui ont suivi la série espagnole ne le savent pas déjà. Ils sont tous une copie conforme exacte de leurs prédécesseurs. Ils utilisent les mêmes pseudonymes et ont même une certaine ressemblance physique. Oui tous les événements suivent la même ligne. Il y a quelques changements notables (peu nombreux) dans cette adaptation, mais le résultat est le même.
‘The paper house: Korea’ a les mêmes défauts et ils sont aggravés par leur manque d’originalité
Quant à la version coréenne elle-même, elle a même le mêmes problèmes. La manque de logique interne c’était un problème dans notre version et c’est un problème dans celle-ci. La sans sens de tout ce qui arrive est toujours votre poinçonner, mettant de côté cette logique au profit du pur divertissement. UN divertissement qu’il ne le sera plus (ou du moins pas tellement), parce qu’il se verra alourdi par la répétition et fera fuir le public qui a déjà assisté au produit original.
La fantôme et le manque de crédibilité au sein d’un argument qui n’est pas très crédible en lui-même reste la clé de ‘The paper house: Korea’ malgré le fait que les deux ont essayé de tout déguiser d’une certaine intelligentsia qui venait de la main du personnage du professeur.
Une série digne compte tenu de son statut de copie
En faveur de ses pièces, oui, ce fièvre pour les productions coréennes. Certaines productions réalisées avec soin, notamment sur le plan esthétique, ce qui semble surpasser la version espagnole. Si on oublie de l’avoir vu, cette version asiatique est bel et bien un produit divertissant avec un univers riche et intéressant. C’est une proposition curieuse, addictive et un pur divertissement sans prétention (exactement comme cela s’est produit dans l’espagnol), mais cela oblige le récidiviste à faire un effort pour ignorer ce qui précèdequelque chose de vraiment compliqué. En attendant, ceux qui approchent ce monde pour la première fois comprendront pourquoi c’est un véritable phénomène.
Bref, cette version coréenne pas de mise à niveau vers la version d’origine. Ça ne correspond même pas. Parce que son principal problème est dans sa base et dans son maudit besoin de tout répéter étape par étape. La seule incitation qui peut attirer l’attention de ceux qui ont déjà assisté au braquage à Madrid est celle d’un mise en scène spectaculaireet la curiosité de voir comment il s’est adapté à certains conditions sociopolitiques nouvelles et totalement différentes.
Il ne propose presque rien de nouveau. Et il n’attirera pas l’attention, comme cela a déjà été dit, de ceux qui ont suivi la série mère. Avec ‘La maison de papier’, Netflix avait un produit gagnant, mais il ne peut pas gagner le jeu avec la même main. Et, sûrement, ne décidez pas de vous lever de table.
SOURCE : Reviews News
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