đż 2022-10-26 20:01:36 â Paris/France.
Lorsquâune sĂ©rie de films connaĂźt constamment un tel succĂšs, câest que offre quelque chose qui se connecte grandement avec le public. Quelque chose, est plus ou moins « valable » pour certains cinĂ©philes en robe de chambre et monocle qui ont prĂ©parĂ© la raillerie prĂȘte pour la derniĂšre sortie Ă succĂšs. Parfois, cela vaut quand mĂȘme la peine dâenquĂȘter sur ce quâest ce quelque chose, car cela vous amĂšne Ă une apprĂ©ciation qui, en fin de compte, a tendance Ă ĂȘtre bĂ©nĂ©fique pour tout cinĂ©ma que lâon dĂ©cide de voir.
Je ne serai pas celui qui viendra dĂ©fendre la franchise Transformers comme quelque chose dâinfaillible et de cohĂ©rent, ni nier que les productions que Michael Bay faisait entre-temps se sont rĂ©vĂ©lĂ©es beaucoup plus intĂ©ressantes. Mais cela ne signifie pas que certains dâentre eux nâont pas la mer de dĂ©couvertes amusantes, comme câest le cas avec le meilleur de tousâTransformers: le cĂŽtĂ© sombre de la luneâ.
amusement géant
AprĂšs un premier volet acceptable et une suite moins lucide, le troisiĂšme volet de cette saga basĂ©e sur les jouets dâHasbro a le mĂ©rite vertus du cinĂ©ma de Bay mieux appliquĂ©es que jamais et ils ont aussi leurs propres dĂ©fauts intrinsĂšques (qui existent) rĂ©duits Ă un minimum non irritant. Il est tellement fabuleux quâil vaut mĂȘme la peine de le recommander sans en regarder un autre avant quâil ne soit plus sur Netflix aprĂšs le 31 octobre (mĂȘme sâil sera toujours disponible sur Amazon Prime Video et HBO Max).
Parce quâil a une simplicitĂ© dans son histoire que beaucoup ont utilisĂ©e comme arme de jet contre tous les films, mais en mĂȘme temps, il est facile dây entrer sans penser Ă tous les devoirs qui doivent ĂȘtre faits pour savoir qui sont ces personnages ou le conflit majeur entre les Autobots et les Decepticons. Au fur et Ă mesure que le film avance, vous lâattrapez Ă la volĂ©e, et vous prĂ©sente tout assez bien pour que vous puissiez vous soucier de ce qui est important.
Dans ce cas, lâimportant câest lâaction. Le grand problĂšme des blockbusters modernes nâest pas lâabus dâeffets numĂ©riques, mais le fait de ne pas savoir les mettre en Ćuvre avec un minimum de goĂ»t ou dâidĂ©e. Bay nâa pas toujours rĂ©ussi Ă surmonter la ruĂ©e vers les dĂ©chets informatisĂ©s, mais dans âTransformers : Dark of the Moonâ, il parvient Ă le sortir Ă chaque fois, laissant certaines des scĂšnes de combat et des explosions les meilleures et les plus Ă©piques de toute la saga.
âTransformers : Le cĂŽtĂ© obscur de la luneâ : ne soyez pas pinfloid et profitez-en
Mais tout ne se termine pas dans lâaction. MalgrĂ© deux heures et demie de sĂ©quences pour une histoire sans doute courte, Bay sait combler les lacunes entre les sĂ©quences magnanimes avec son bon sens de lâhumour, qui catalyse Ă travers les acteurs de personnages. Lâune des choses les plus drĂŽles Ă propos dâun film Transformers est quand il vous lance des acteurs comme John Malkovich, Frances McDormand ou John Turturro pour vous expliquer de la maniĂšre la plus folle et la plus loufoque possible.
Que ces acteurs seront lĂ avant tout pour encaisser le chĂšque et ne sâamuseront pas autant Ă le faire non plus ? Câest pareil, ils remplissent leur objectif, malgrĂ© le fait que beaucoup lâattribueront Ă la comĂ©die involontaire. Mais Bay nâa pas besoin dâapprĂ©ciation ou non de ses intentions, il lui suffit de faire un affichage brutal et divertissant qui captive le spectateur. Et Ă©tant donnĂ© quâil sâagit de la franchise la plus rĂ©ussie avec plus de 1,1 milliard de recettes dans le monde, « Transformers : Dark of the Moon » parvient clairement Ă captiver.
SOURCE : Reviews News
NâhĂ©sitez pas Ă partager notre article sur les rĂ©seaux sociaux afin de nous donner un solide coup de pouce. đ€