blond | Meilleurs critiques, avis et notes

blond |  Meilleurs critiques, avis et notes - Tomatazos

😍 2022-09-30 22:12:11 – Paris/France.

« Un film monumental » est la façon dont la plupart des critiques ont dĂ©crit Rubia – 59% (Blond) l’adaptation tant attendue du roman homonyme de Joyce Carol Oates sur le plus grand mythe hollywoodien, Marilyn Monroe, la femme la plus dĂ©sirĂ©e, voire considĂ©rĂ©e comme la plus belle Ă  l’époque, et le sex-symbol le plus cĂ©lĂšbre de tous les temps. Estrenada en competencia en el pasado Festival de Cine de Venecia, la pelĂ­cula producida por Netflix, dirigida por Andrew Dominik y protagonizada por Ana de Armas, recibiĂł crĂ­ticas mixtas, pero, a pesar de ello, es un visionado obligatorio de acuerdo a la opiniĂłn de critique.

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Blond C’est une histoire fictive basĂ©e sur la vie de Marilyn Monroe, ce n’est donc pas une biographie, cependant, la diva a inspirĂ© de nombreux artistes Ă  aborder sa vie tragique, une belle femme qui a connu la gloire et la fortune, mais aussi le cĂŽtĂ© le plus sombre des projecteurs. ImmortalisĂ©e dans des films comme The Seventh Year Itch – 86%, One Eve and Two Adams – 96% ou Gentlemen Prefer Blondes – 98%, Marilyn Ă©tait constamment tourmentĂ©e par ses insĂ©curitĂ©s et sa solitude, ce qui dĂ©clenchait une dĂ©pression constante et des tournages insupportables. C’est cette dualitĂ© entre Norma Jean Boulanger Oui Marilyn Monroe qui anime l’intrigue du roman et du film.

BasĂ© sur le best-seller du quintuple finaliste du prix Pulitzer, Joyce Carol Oates, Blonde – 59% est l’histoire personnelle audacieusement rĂ©inventĂ©e du sex-symbol le plus cĂ©lĂšbre au monde, Marilyn Monroe. Le film est un portrait fictif de la mannequin, actrice et chanteuse des annĂ©es 50 et 60. Au casting, nous avons Ă©galement Bobby Cannavale, Adrien Brody, Julianne Nicholson, Evan Williams, Garret Dillahunt, Xavier Samuel, entre autres.

MalgrĂ© une cinĂ©matographie, une conception de la production et une bande sonore Ă©poustouflantes, ainsi qu’une performance prodigieuse et magistrale de Anne d’armes, qui, selon les journalistes, semble « possĂ©dĂ©e par l’esprit de Marilyn Monroe », Rubia a clairement divisĂ© les critiques pour un portrait qui n’est pas aussi sophistiquĂ© ou rĂ©volutionnaire qu’il n’y paraissait, gĂąchant les occasions de se rĂ©approprier l’image de Monroe comme la femme intelligente qu’il Ă©tait . En ce sens, certains critiques soulignent que le film est une autre approche ratĂ©e de l’icĂŽne amĂ©ricaine, un autre film inspirĂ© du mythe qui ne raconte rien de nouveau, au contraire, c’est un produit d’exploitation qui ajoute Ă  l’image de la blonde muette qui Hollywood chargĂ© de crĂ©er.

Les journalistes ont Ă©tĂ© durs avec le film, le qualifiant de sensationnaliste, ils soulignent mĂȘme que certaines scĂšnes grattent le mauvais goĂ»t, cependant, il y a ceux qui ont Ă©tĂ© agrĂ©ablement satisfaits et pas seulement Ă  cause de l’incarnation d’Ana de Armas, mais aussi Ă  cause de les proportions et les formats qui acquiĂšrent les images en fonction des exigences de chaque moment de gloire ou de douleur du personnage, ainsi que la bande sonore de Nick Cave et Warren Ellis.

Partageant les critiques qui n’ont pas hĂ©sitĂ© Ă  souligner les fautes, Blonde – 59% fait dĂ©jĂ  partie du catalogue Netflix depuis le 28 septembre. Ensuite, nous partageons quelques opinions du critique.

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Jo-Ann Titmarsh de Norme du soir:

De Armas est une prĂ©sence engageante et, comme la femme qu’elle dĂ©peint, elle est Ă©minemment regardable. Elle capture la sensualitĂ© et la vulnĂ©rabilitĂ© de Monroe, mais n’a que peu d’occasions d’évoquer l’intelligence et l’humour de Marilyn.

David Rooney de Le journaliste hollywoodien:


 il est difficile de se dĂ©barrasser du sentiment de malaise que Dominik apprĂ©cie le spectacle de pacotille. De Armas n’économise rien pour se connecter avec la douleur du personnage. Elle mĂ©rite mieux.

Pepa Blanes de ChaĂźne BE:

Disons que ce qui manque dans Blonde, c’est qu’on a laissĂ© de cĂŽtĂ© ces pans de la vie de Norma Jean qui sont moins exploitĂ©s et moins connus, ceux qui peuvent casser la lecture de la blonde muette que les critiques, Hollywood et la sociĂ©tĂ© ont faite et, comme on le voit, ils continuer Ă  en faire.

Christina Newland de iActualités:


Blonde est une blessure, une autre fissure dans l’armure brillante de Marilyn, jusqu’à ce qu’elle ne puisse plus la supporter. Pour Dominik, le fait central de la vie de Marilyn est qu’elle est morte, en partie de sa propre main, Ă  l’ñge de 36 ans. C’est tout. Pas de vivacitĂ©, pas de choix, juste de la tragĂ©die. Plus rien Ă  voir ici, les amis.

Sophie Monks Kaufman de IndieWire:

Ce n’est pas qu’Andrew Dominik a fait un film invraisemblable sur l’expĂ©rience d’une pauvre jeune beautĂ© tourmentĂ©e par la peur de la folie qui a Ă©tĂ© mĂąchĂ©e par la machine hollywoodienne, c’est qu’il a fait un film inspirĂ© de Marilyn Monroe la mettant en scĂšne de maniĂšre monotone.

Ricardo Gallegos de la figurine:

Andrew Dominik laisse par erreur son histoire et son protagoniste ĂȘtre consumĂ©s par la douleur et les traumatismes. La mise en scĂšne incohĂ©rente, le manque d’empathie, la rĂ©pĂ©tition absurde d’élĂ©ments narratifs et l’unidimensionnalitĂ© des personnages aboutissent Ă  un produit d’exploitation oĂč la misĂšre dĂ©passe les intentions de dĂ©construction.

José Maria Areste de film 21:

Une grande partie de ce qu’on nous dit est bien connue, mais la façon dont l’information est livrĂ©e est variĂ©e et vertigineuse. Comme les traits sont presque impressionnistes, tout ce qui est racontĂ© est lĂ©ger (
) Ana de Armas fait du bon travail dans le rĂŽle de Marilyn, c’est une bonne actrice, c’est pour cela que son anatomie est Ă  peine surexposĂ©e, ce qui est tout Ă  fait inutile.

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Damon sage de date limite:

Tous les Ă©lĂ©ments techniques sont remarquables, de la cinĂ©matographie Ă  la conception de la production en passant par la partition (une symphonie exubĂ©rante mais minimale Ă  la Carter Burwell de Warren Ellis et Nick Cave), mais le fait que le film fonctionne est dĂ» Ă  l’extraordinaire jeu d’acteur. en est au centre : Ana de Armas


Jane Crowther de JeuxRadar:


 Le film de Dominick n’est pas un biopic rĂ©pĂ©titif, mais change plutĂŽt le rapport d’aspect et le format (du noir et blanc granuleux au Technicolor grand Ă©cran) pour imiter les mĂ©dias dans lesquels nous consommons Monroe. De Armas recrĂ©e des moments iconiques avec une troublante vraisemblance


Diego Lerer de Micropsie:


Dans cette fable du Petit Chaperon Rouge face Ă  des dizaines de loups fĂ©roces, la palme revient Ă  Ana de Armas, vĂ©ritable rĂ©vĂ©lation de ce film unique, ambitieux et parfois remarquable. L’actrice interprĂšte une performance brute, au bord de l’implosion, de la dĂ©sintĂ©gration, du dĂ©chirement. La jeune fille semble possĂ©dĂ©e par l’esprit de Norma Jeane. Ce n’est pas une imitation mais une incarnation au sens le plus religieux de ce mot bĂ©ni.

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SOURCE : Reviews News

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