Blanca SuĂ rez traque les nazis meurtriers

Blanca SuĂ rez traque les nazis meurtriers - Kleine Zeitung

🍿 REVIEWS News – Paris/France.

Le soupçon est que le Les pays germanophones ne sont pas le territoire cible de cette série Netflix est. Une indication formelle de cela est l’absence d’une bande-annonce allemande pour la série espagnole, qui parle d’une jeune femme (Blanca Suàrez, « Die Telefonistinnen ») qui concourt dans les années 1960 pour le Son père est assassiné par les nazis se venger. Ce qui nous amène au second point : en Allemagne ou en Autriche, la commercialisation des histoires de la Shoah ferait au moins débat.

« Jaguar » parle d’une jeune femme qui se fait appeler Isabel. Elle sert des tables dans un restaurant à Madrid où les visiteurs allemands vont et viennent. En particulier, d’anciens hommes de main nazis qui ont échappé aux procédures judiciaires et à l’ostracisme et ont donc fui vont et viennent ici. Pour Isabel, le travail est un moyen d’arriver à ses fins : elle guette Otto Bachmann, qui avait assassiné son père sous ses yeux sous le Troisième Reich. Dans le premier épisode, il s’avère qu’elle pas le seul chasseur nazi est en ville. Ensemble, ils rencontrent une société allemande en Espagne où le Troisième Reich continue d’exister.

La série Prime « Hunters » ou « Inglourious Basterds » de Quentin Tarantino l’ont fait : l’histoire de la vengeance contre les assassins des nationaux-socialistes est pleine d’épées à double tranchant, d’une dramaturgie animée par un désir crédible de vengeance et de points de contact historiques. « Jaguar » tente l’équilibre, veut offrir une action décontractée et en même temps traiter l’héritage historique avec respect.

Les noms des protagonistes sont fictifs, leurs histoires sont réelles. Les flashbacks racontent comme Isabel survivre à Mauthausen pourrait. Ses camarades, avec qui elle traque les nazis, sont aussi des rescapés des camps de concentration. C’est là que la série a ses moments forts, ceux où l’impossibilité de se réconcilier avec le passé est abordée. « Jaguar » révèle ses plus grandes faiblesses là où l’on donne l’impression que la machine à mort national-socialiste est devenue le fourrage banal d’une machine à histoire commerciale.

SOURCE : Reviews News

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