😍 2022-08-29 10:05:09 – Paris/France.
Jaume Collet Serra Il fait partie de ces réalisateurs qui n’échouent jamais. Qu’il choisisse d’aborder la terreur dans des titres comme « L’Orphelin », d’embrasser l’esprit le plus hitchcockien dans des films comme « Le Passager » ou « Non-Stop » ou de se déguiser en Walter Hill dans l’électrisant « Une nuit pour survivre », le Catalan vivant à Los Angeles a montré qu’il dominait le thriller comme peu de cinéastes actuels.
Surfeur contre requin
En 2016, Collet-Serra décide de continuer à explorer les multiples voies qu’offre le suspense pour façonner l’implacable « Blue Hell » ; un survie d’un manuel qui oppose un Blake Lively qui souffre depuis longtemps à un grand requin blanc avec pas mal de mauvaise humeur en 87 minutes précis comme un neurochirurgien et tranchant comme un scalpel.
Une fois de plus, le réalisateur montre une énorme maîtrise dans la création et la gestion des ambiances et une vision impeccable en matière de planification et de mise en scène ; éléments qui, renforcés par le montage de Joël Negron, invitent reste sur le bord de ton siège tandis que nous assistons à un duel impossible qui, a priori, semble avoir un vainqueur incontesté.
Ce divertissement modeste —son budget est estimé à 25 millions de dollars— mais impeccable, qui juste besoin d’une fille et un pistolet un requin affamé pour tenir en haleine et satisfaire les respectables, a justement multiplié par cinq son investissement au box-office. Si vous ne l’avez pas encore vu et que vous souhaitez découvrir le secret de son succès, vous pouvez le faire sur Netflix, mais seulement quelques jours avant qu’il ne quitte la plateforme le 1er septembre.
SOURCE : Reviews News
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