😍 2022-05-30 20:25:41 – Paris/France.
Très bien, fans de Stranger Things. Enfin, après trois ans de la première de la saison précédente, la quatrième saison de la série arrive, pandémie à travers.
Il y a beaucoup de choses à raconter, la série revient en grand, précisant qu’elle est le fleuron de Netflix. Mon copain David Solis nous a dit ici.
Comme nous le faisons habituellement avant de commencer, je vais vous laisser avec une analyse des saisons précédentes :
Saison 1 : partie 1 et partie 2.
Saison 2 : partie 1 et partie 2.
Saison 3.
Nous retournons à Hawkins.
Après la fin de la saison précédente, on constate que la vie continue à Hawkins, bien qu’avec l’absence de certains protagonistes qui sont hors de la ville.
Notre protagoniste, Eleven (ou Eleven ou Jane, comme on l’appelle à l’école) domine les trois premiers épisodes de la saison, étant une victime récurrente à l’école où elle étudie. Les frères Duffer faire du grave problème qu’est le Intimidation plus qu’une plainte une satire car la vérité est que trois villes sont passées avec les mauvais traitements subis par la jeune fille.
De plus, Eleven a le handicap que son petit ami Will est absent, et c’est que les Byers, après les événements survenus, préfèrent partir par les pattes d’Hawkins et refaire une nouvelle vie en Californie, à Lenora Hills.
Lorsque Will revient en ville, il se retrouve dans de nombreux ennuis. D’un côté la jalousie de Mike, de l’autre la intimidation Onze souffre.
Le groupe est très étalé cette saison, on a déjà parlé d’Eleven, Will et Mike. Ensuite, nous avons les inséparables « bizarres » Mike (encore) et Dustin qui se séparent un peu de Lucas. Il veut sortir du groupe des cinglés ou des parias en rejoignant l’équipe de basket du lycée. Par coïncidence, la finale coïncide avec le départ du Hellfire Club.
Et pour finir de parler de certains des protagonistes, il nous reste Hooper, que nous voyons avoir survécu et pâlit dans une prison soviétique. Il va sans dire qu’au moins dans ces quatre premiers chapitres, il a l’intrigue la plus ennuyeuse.
La terreur habite Hawkins.
Derrière la démogorgon Oui Le monde à l’envers Il était temps de voir quelle apocalypse frapperait Hawkins cette fois. Sans aucun doute, le méchant de la saison a surpris pour de bon. Le monstre est Vecna, nom donné par Dustin et tiré du jeu Donjons et Dragons.
Vecna attaque de l’intérieur du subconscient, ce qui le rend encore plus dangereux. Pour ce monstre, les frères Duffer se sont inspirés des personnages des films d’horreur des années 80 tels que freddie kruger (Cauchemar sur Elm Street) ou penny-wise (Article). Et c’est que l’hommage est évident surtout dans l’épisode quatre lorsque nous rencontrons Victor Creel, joué par nul autre que Robert Englund (alias Freddie Kruger).
La créature Vecna est étroitement liée à Victor Creel, le triste protagoniste des événements survenus à Maison Creel. Sans aucun doute, le quatrième épisode est le meilleur de ceux que nous apportons dans cette analyse pour tout ce qu’il révèle et à quel point le volet terrifiant est bien géré. À Creel House, le massacre de la famille Creel par le père a eu lieu, du moins apparemment, puisqu’il a toujours dit qu’il s’agissait d’une créature démoniaque.
Dans l’épisode quatre, l’intelligente Nancy Wheeler et Robin Buckley (peut-être le meilleur des personnages principaux de cette saison) parviennent à entrer dans l’établissement psychiatrique où Victor est enfermé dans des conditions de sécurité maximales. Ils lui disent que Vecna est de retour et qu’ils savent qu’il n’a pas tué sa famille. Le visage défiguré de Creel dénote la tragédie de son passé.
Considérations finales sur ces quatre premiers chapitres.
J’ai beaucoup lu que cette saison est la meilleure des quatre et que la composante horreur est beaucoup célébrée. Pour le moment, je ne suis pas d’accord sur le premier. Après avoir vu les quatre premiers chapitres, j’ai remarqué un facteur récurrent, la durée exagérée des chapitres alourdit l’expérience, ils sont rendus parfois ennuyeux.
Dans le premier chapitre sauver le terrifiant cliffhanger où l’on rencontre Vecna et assiste à la fin de la cheerleader Chrissy Cunningham, on se retrouve devant une heure et quart d’histoires de lycée qui ne surprennent plus.
Dans les chapitres suivants la même chose se produit, des cliffhangers récurrents et des monologues qui frôlent l’exaspération (que Max de rebelle de petit à ado philosophe se fatigue).
Même le quatrième chapitre du meilleur de la série pour moi avec l’histoire de Creel House s’effondre avec cette durée exagérée. Ce n’est pas parce qu’ils durent 75 minutes, parce que le voir en plusieurs parties, c’est ça, le problème pour moi au moins réside dans l’excès de paille inutile qu’il y a, surtout dans les trois premiers chapitres. Je pense qu’avec une heure de moins, ces quatre chapitres auraient beaucoup gagné.
Alors ce que je disais, le destin de Hooper en ce moment est très ennuyeux. En plus, cette super évasion de la prison où il est enfermé, est très parodique, elle ne frappe pas un shérif de la ville, même si vu ce qui s’est passé dans les saisons précédentes…
Bref, comme point positif je soulignerais le casting d’acteurs. Encore une fois les enfants de la ligne générale sont magnifiques. Je soulignerais Dustin et Robin Buckley, à la fois pour leur confiance en soi. Un autre aspect positif est le méchant Vecna et le contexte terrifiant de la Creel House. Du côté négatif, je me concentre sur la durée excessive.
Dans quelques jours, je vous apporterai mes évaluations des trois chapitres restants jusqu’à l’arrivée de la conclusion, le 1er juillet prochain, lorsque les chapitres 8 et 9 seront diffusés.
Jusque-là une salutation et être heureux.
SOURCE : Reviews News
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