Aide cinématographique suisse

Aide cinématographique suisse - "Lex Netflix": Tels sont les arguments du comité du oui - Schweizer Radio und Fernsehen (SRF)

😍 REVIEWS News – Paris/France.

La nouvelle loi sur le cinĂ©ma crĂ©e des conditions de marchĂ© Ă©quitables et renforce le cinĂ©ma et les PME suisses, a affirmĂ© la commission non partisane « Oui Ă  la loi sur le cinĂ©ma ». Il a Ă©galement soulignĂ© les arguments en faveur de la nouvelle obligation d’investissement, qui ont dĂ©jĂ  pu obtenir une majoritĂ© au Parlement. Des reprĂ©sentants du SP, Mitte, EVP, FDP, GLP et GrĂŒnen ont fait campagne pour les rĂšgles modifiĂ©es. La proposition crĂ©e des conditions de marchĂ© Ă©quitables et renforce le cinĂ©ma suisse et les PME, Ă©tait le tĂ©nor.

Le comitĂ© veut consacrer de nouvelles rĂšgles d’investissement

Les promoteurs ont Ă©galement fait rĂ©fĂ©rence Ă  d’autres pays, oĂč une obligation d’investissement pour les services de Streaming est depuis longtemps une pratique courante. Avec la nouvelle loi sur le cinĂ©ma, la Suisse se mettrait au niveau des pays voisins et garantirait ainsi Ă  la Suisse des chances Ă©gales sur le marchĂ© international du film. Avec la nouvelle obligation d’investissement pour les services de Streaming, davantage de productions suisses seraient vues Ă  l’avenir, le ComitĂ© du Oui en est toujours convaincu. L’offre sera plus large et plus diversifiĂ©e.

LĂ©gende: Le comitĂ© non partisan du oui a prĂ©sentĂ© jeudi aux mĂ©dias Ă  Berne les arguments en faveur d’une modification de la loi sur le cinĂ©ma. clĂ© de voĂ»te

De plus, les plateformes pouvaient librement dĂ©cider dans quels projets l’argent serait investi en Suisse. Aujourd’hui, tous ces revenus partent Ă  l’étranger, comme le critiquent les partisans des nouvelles rĂšgles. C’est injuste, car les fournisseurs suisses du marchĂ© de la tĂ©lĂ©vision sont depuis longtemps obligĂ©s d’investir dans la production cinĂ©matographique nationale.

Le ministre de la Culture, Alain Berset, part du principe que le cinĂ©ma suisse pourrait bĂ©nĂ©ficier de 18 millions de francs supplĂ©mentaires par an avec le nouveau modĂšle. Si les fournisseurs de Streaming ne veulent pas investir, ils doivent payer une taxe de remplacement Ă  l’Office fĂ©dĂ©ral de la culture (BAK) comme alternative.

SOURCE : Reviews News

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