😍 2022-08-30 20:11:27 – Paris/France.
« Hex » (« Incantation ») a réussi à capter l’attention des téléspectateurs après ses débuts sur Netflix. Le film a réussi à se positionner comme l’un des films les plus regardés sur la plateforme bien connue après ses débuts en juillet dernier.
Le film d’horreur taïwanais se concentre sur la réalité, dans une référence claire à des films tels que le succès « The Blair Witch Project » (« The Blair Witch Project », USA, 1999). Ainsi, le long métrage combine les méthodes narrées couramment utilisées dans ce type de genre : le faux documentaire et le found footage, pour montrer l’histoire d’une mère qui traîne une malédiction qui touche sa fille.
Après le succès au box-office dans son pays d’origine, Netflix n’a pas hésité à acquérir rapidement les droits du film réalisé par Kevin Ko, pour présenter l’horreur au monde entier.
De plus, l’histoire effrayante est basée sur une structure de flashbacks pour combler les lacunes de l’intrigue au fur et à mesure qu’elles apparaissent, en essayant de ne laisser aucun détail.
De quoi ça parle?
Le film commence il y a longtemps, lorsque Li Ronan (Tsai Hsuan-yen) visite une secte avec son petit ami Dom (Sean Lin) et son ami Yuan (RQ) par curiosité et malice, mais tout va mal quand ils lancent une malédiction . La seule survivante de cet incident est elle, qui croit que tout est fini.
Cependant, ce ne sera pas comme ça car elle a brisé un tabou religieux et cette malédiction l’accompagne depuis six ans. Désormais, la femme qui est déjà mère doit protéger sa fille Dodo (Huang Sin-ting) afin qu’elle ne paie pas pour ce qu’elle a fait pendant sa jeunesse.
Le film est une histoire pleine de ténèbres qui ne tombe pas dans la simple utilisation d’effets pour générer la terreur, mais présente plutôt la plus sombre de la nature humaine pour horrifier les téléspectateurs.
Photo : courtoisie Netflix
Un peu de tout
« Hex » reprend certains éléments de cas réels sur le continent asiatique pour constituer son argumentation. Un de ces cas qui a inspiré le film était un incident dans le district de Gushan, Kaohsiung en 2005.
Dans celui-ci, les six membres d’une famille s’accusent mutuellement d’être possédés par des démons déguisés en divinités.
En fin de compte, ils ont choisi la fille aînée et l’ont attaquée jusqu’à ce qu’elle meure des suites de ses blessures. Les cinq membres survivants ont été accusés du crime d’abandon d’une personne sans défense entraînant la mort. Le cas a été considéré comme un cas d’hystérie collective.
Un autre des éléments réels que « Hex » utilise dans son intrigue est la prolifération des sectes et des cultes religieux dans le pays asiatique.
En 2019, une autre secte a fait la une des journaux à Taïwan. Il s’agissait du culte de « Bouddha Vivant », une femme de 61 ans qui a convaincu une vingtaine d’individus qu’elle était la réincarnation de « L’Illuminé ». Selon ses règles, les personnes âgées de 2 à 80 ans se barricadaient dans une habitation de la chefferie de Taichung où elles ne pouvaient ni parler, ni manger, ni se baigner.
Les autorités ont fermé le groupe après qu’un de ses membres ait été battu à mort dans le cadre d’un exorcisme.
Photo : courtoisie Netflix
SOURCE : Reviews News
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