đ 2022-08-30 11:17:51 â Paris/France.
Netflix Oui Telemundo Ils ont une rĂ©ponse pour Sandra Ăvila BeltrĂĄn : si elle se prĂ©sente pour eux, ils ne dĂ©bloqueront pas un seul centime pour lâutilisation de son image dans la promotion de Reine du Sud et ils ne dĂ©voileront pas lâampleur de la fortune que la sĂ©rie a gĂ©nĂ©rĂ© pour eux, comme lâexige la dĂ©fense de la reine du pacifique.
En rĂ©ponse Ă la rĂ©clamation de Avila BeltrĂĄn avant le Institut mexicain de la propriĂ©tĂ© industrielle (IMPI) exigeant le paiement de redevances pour lâusufruit illĂ©gal de son image et la construction du personnage de Teresa Mendoza copiant la vie de la reine du pacifiqueles deux sociĂ©tĂ©s amĂ©ricaines ont uni leurs forces et ouvert leur portefeuille pour se dĂ©fendre et, surtout, protĂ©ger lâun des produits tĂ©lĂ©visuels les plus performants de la derniĂšre dĂ©cennie.
MILLĂNAIRE il a obtenu des copies des rĂ©pliques des deux sociĂ©tĂ©s de divertissement. De ceux-ci, il sâensuit que ni Netflix ni Telemundo ils nâont Ă©pargnĂ© aucune dĂ©pense : ils ont louĂ© le mĂ©ga-bureau Basham, Ringe et CorrĂ©aclassĂ© par des publications spĂ©cialisĂ©es parmi les 10 plus importants et influents au Mexique.
Et bien que dans leurs arguments ils soutiennent que lâaccusation de Avila BeltrĂĄn manque de soutien juridique, le nombre de mains qui seront Ă bord donne une idĂ©e de lâimportance quâils accordent Ă lâaffaire. Au total, le cabinet a affectĂ© 10 avocats et 13 stagiaires pour diriger le processus.
Lors dâune dĂ©fense coordonnĂ©e, deux avocats du cabinet ont prĂ©sentĂ© un raisonnement juridique qui revenait pratiquement Ă demander au IMPI le rejet immĂ©diat de la procĂ©dure avec laquelle Avila BeltrĂĄn demande le paiement de redevances jusquâĂ 40 % de ce quâil a gĂ©nĂ©rĂ© Reine du Sud dans la derniĂšre dĂ©cennie.
Lâargument central : pour ĂȘtre une personnalitĂ© publique et connue, la reine du pacifique nâa pas droit Ă son image et ne peut donc prĂ©tendre Ă quelque chose qui lui manque, alors quâune sĂ©rie comme Reine du Sud il doit ĂȘtre considĂ©rĂ© comme un exercice « journalistique ».
« Il est dans lâintĂ©rĂȘt public de parler dâune personne accusĂ©e dâun crime qui cause de graves violences et dâinnombrables victimes dans notre pays, Ă savoir le trafic de drogue, et de lâissue de la procĂ©dure judiciaire correspondante. En parler nâest pas une atteinte Ă la vie privĂ©e du plaignant ou une « morbiditĂ© », câest une question dâintĂ©rĂȘt public de parler dâadministration de la justice, telle quâexprimĂ©e dans les critĂšres que je viens de retranscrire. Ensuite, il est justifiĂ© de faire du journalisme sur le plaignant puisquâil y a un intĂ©rĂȘt Ă parler de lâadministration de la justice », lit-on dans lâun des documents transmis Ă lâIMPI.
Les deux rĂ©ponses exposent les raisons pour lesquelles les deux consortiums considĂšrent que le cas de Avila BeltrĂĄn Nâa pas de mĂ©rite. En principe, les deux Netflix Quoi Telemundo Ils conviennent que produire des sĂ©ries inspirĂ©es du trafic de drogue est un exercice de la libertĂ© dâexpression protĂ©gĂ© par lâarticle 6 de la Constitution mexicaine.
Aussi, que le Cour suprĂȘme de justice a Ă©mis des avis favorables Ă lâinvasion de la vie privĂ©e de certaines personnes, en particulier lorsquâil sâagit de personnalitĂ©s publiques bien connues, telles que la reine du pacifique.
« Si nos gouvernants accusent la plaignante dâĂȘtre une trafiquante de drogue et lâextradent vers un autre pays, il y a un intĂ©rĂȘt de la sociĂ©tĂ© Ă sâexprimer et Ă en ĂȘtre informĂ©e (et cela) peut lĂ©gitimement porter atteinte Ă la vie privĂ©e de la plaignante », est-il indiquĂ© dans le ressource de Netflix.
le de Telemundo traite du droit quâune personne a Ă son image, conformĂ©ment aux dispositions de la Loi fĂ©dĂ©rale sur le droit dâauteur, citĂ© par la dĂ©fense Avila BeltrĂĄn. Dans ce domaine, il cite une thĂšse du SCJN : « la protection de la vie privĂ©e dâune personne qui participe Ă des Ă©vĂ©nements dâintĂ©rĂȘt public pour la sociĂ©tĂ© est moindre ».
SOURCE : Reviews News
NâhĂ©sitez pas Ă partager notre article sur les rĂ©seaux sociaux afin de nous donner un solide coup de pouce. đ