🍿 2022-10-25 20:29:31 – Paris/France.
Les fans d’horreur et de fantasy étaient impatients qu’il atteigne Netflix Cabinet de curiosités de Guillermo del Toro. La salle de stockage 36l’épisode choisi par le cinéaste mexicain (dans son rôle de maître de cérémonie et de promoteur créatif) pour aiguiser votre appétit, cela corrobore comment il était pressenti que le classique allait être présent dans les différents aspects reflétés et entretient l’espoir de trouver une anthologie appréciable.
Le chapitre signé Guillermo Navarrodirecteur de la photographie respecté et collaborateur régulier de son ami et compatriote, il peut goûter peu à ceux qui recherchent une terreur plus directe et plus puissante, bien qu’il laisse un bon arrière-goût aux éléments qui sont détectés. Bien qu’il vise à être une histoire mineure dans l’ensemble du cabinet, cela ne signifie pas qu’il n’est pas d’intérêt. Il dégage justement le ‘charme’ du mineur et bien abordé.
Tim Blake Nelson super dans lequel le registre n’entraîne pas de grandes complications, il interprète (brodant l’archétype) un homme en colère contre la société comme l’indique son racisme patent et son statut de vétéran qui se sent maltraité. Poussé par les dettes, il se consacre à acheter des salles de stockage abandonnées aux enchères, puis à vendre les objets de valeur que tu trouves Dans le débarras 36, sa dernière acquisition, il découvre quelques objets occultes utilisés à des fins démoniaquesune circonstance qui génère une indifférence absolue (il ne pense qu’à l’argent qu’il peut obtenir) jusqu’à ce qu’il soit trop tard.
La élément classique de l’histoiredéveloppé dans le cadre de la guerre du Golfe (c’est ainsi que les télévisions qui diffusent le discours de George Bush père et les bombardements le contextualisent), se manifeste dans le racine générique qui émerge, faisant allusion aux penchants occultes des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale. Aussi dans la figure de l’acheteur versé dans ces questionsqui veut vérifier s’il y a aussi un livre d’invocation dans la réserve, et dans la lecture morale concernant l’attitude du protagoniste et son destin. Le rejet et le dédain avec lesquels il traite la dame latine qui demande son aide donnent un indice.
Ce classique coule aussi, comme prévu, dans la propre introduction de del Toro, à l’ancienne des anthologies et avec le détail du protagonisme qu’il accorde aux réalisateurs. Il est agréable de se retrouver avec des aspects comme celui-ci pour le affection qu’ils professent envers la terreur.
Vers le bon chapitre d’ouverture on lui pardonne de ne pas explorer plus avant les aspects occultes décritsqui restent dans le contour.
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SOURCE : Reviews News
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