Arrêtez tout, si vous n’avez pas encore vu A Star Is Born, je vous en prie, fermez votre ordinateur, retirez les pop-corns de la machine et ne lisez pas un mot de plus, car nous allons plonger tête la première dans des spoilers majeurs. Vous êtes avertis !
Table des matières
Quand la dépression rencontre le show business
Dans cette dernière adaptation de A Star Is Born, nous découvrons Lady Gaga sous le manteau d’Ally, serveuse rêveuse d’un bar de drag queens, et Bradley Cooper incarnant le rockeur Jackson Maine, qui la découvre lors d’une performance sublime de « La Vie En Rose ». Leurs aventures commencent par une connexion intense, où Jackson, l’air un peu creepy, lui confie qu’il veut juste « la regarder encore une fois ». Une belle déclaration ou un mélange entre la poésie et le comportement d’un stalker ? À vous de juger !
Un conte d’amour irrésistible mais tordu
Que se passe-t-il quand une belle histoire d’amour entre un musicien en difficulté et une étoile montante commence à prendre de l’ampleur ? Vous avez raison, ça se termine en drame ! Jackson, l’homme tourmenté, se laisse emporter par ses démons – en gros, il plonge dans l’addiction pour échapper à son enfance chaotique et sa terrible acouphène. On a même un mariage improvisé en cours de route, parce que pourquoi pas ? Mais, spoiler alert: leur amour va devenir une montagne russe émotionnelle plus chaotique qu’un concert de rock.
Les jalousies et les luttes internes
Alors qu’Ally commence à briller en tant que pop star, son manager, Rez, veut la détourner de l’influence rock de son mari. Que c’est mignon, n’est-ce pas ? Qui n’aime pas voir un bon mari se transformer en jaloux torturé ? Au fil de leurs luttes, Jackson tente de résoudre ses problèmes, mais c’est un peu comme essayer de déboucher un évier avec un spaghetti.
Sauf que les choses prennent un tournant tragique lorsque Jackson, accablé de culpabilité et sous l’influence de son manager, décide de mettre fin à ses jours. Qui aurait cru qu’un film sur l’amour pourrait donner cette envie de pleurer dans notre popcorn ?
Le fameux message sur les méthodes fatales
En parlant de la manière dont Jackson choisit de quitter ce monde, c’est alors qu’on se rend compte que la méthode n’est pas insignifiante. La scène où il succombe par pendaison évoque tristement les récents morts de nombreuses célébrités dues à la dépression. Cela soulève un débat crucial sur l’addiction et la santé mentale, des sujets que le film aborde avec une poignante délicatesse. Quoi qu’il en soit, si vous avez des pensées sombres, n’hésitez pas à contacter des professionnels, sinon vous pourriez sentir une grande envie de chanter « Shallow » tout seul dans votre salon (ce qui est déjà un bon début, non ?).
Des indices semés tout au long du film
Pour ceux qui ont l’œil aiguisé, des éléments tout au long du film laissent présager la tragédie. Qui a noté que Jackson évoque une fois avoir tenté de se pendre quand il était jeune ? Pas très rassurant… D’ailleurs, le petit chiot qui attend son « papa » à la porte pendant que sa maîtresse pleure est presque trop doux pour être vrai. Préparez vos mouchoirs, car cette belle innocence ne fait qu’ajouter à la mélancolie de l’histoire.
Une aurore pour Ally
La fin de cet épisode tragique nous laisse avec Ally, qui, au lieu de sombrer dans le désespoir, s’affirme enfin. Dans ses derniers instants, elle se présente comme « Ally Maine », adoptant le nom de son mari décédé et chantant une ballade qu’il lui avait écrite, « I’ll Never Love Again. » Non seulement c’est déchirant, mais cela montre aussi que malgré la tragédie, les étoiles peuvent briller plus fort. Qui a dit que les contes de fées n’existaient pas ? Même si, ici, on aurait aimé qu’ils se terminent avec moins de pleurs et plus de arcs-en-ciel.
Un hommage aux versions précédentes
Alors, qu’est-ce qu’on peut prendre de cette nouvelle adaptation ? Elle reprend des éléments des versions précédentes avec une touche de modernité, mélangeant amour, tragédie et une jolie bande sonore qui ne pourra jamais vous quitter. Et, comme l’a souligné Cooper, « ce moment est l’instant où une étoile est née », car le parcours d’Ally est bien plus qu’un simple clin d’œil au passé — c’est un appel à la résilience et à l’authenticité. Pensez à ça comme à un concert : même dans la douleur, la musique continue de jouer.
Alors, la morale de cette histoire ? Que même dans les pires moments, l’espoir peut briller. Et après tout, une étoile est née finalement, peu importe à quel prix. Allez, j’en ai marre de pleurer, je vais écouter « Shallow » et imaginer des nuages roses.