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Jujutsu Kaisen : 10 choses à savoir sur Suguru Geto

Jujutsu Kaisen : 10 choses à savoir sur Suguru Geto

Ah, Suguru Geto ! Un nom qui résonne comme une chanson triste de Taylor Swift mélangée à un épisode de « Naruto » en pleine crise identitaire. Mais qui est vraiment cet homme mystérieux et impitoyable qui semble avoir plus de problèmes que de neurones ? Accrochez-vous à vos bonbonnières, car je vais vous présenter dix choses fascinantes et peut-être un peu ridicules sur ce personnage emblématique de Jujutsu Kaisen. Spoilers inclus, alors préparez-vous à des surprises dans un sens comme dans l’autre !

1. L’Antagoniste Principal

Alors, Suguru Geto n’est pas qu’un simple figurant avec des cheveux longs et un regard intense ; c’est le grand méchant de Jujutsu Kaisen 0, l’école d’exorcisme de Tokyo. Oui, vous avez bien entendu ! Satoru Gojo, lui, se bat avec ses propres démons, mais Geto ? Il s’est carrément érigé en ennemi de tout ce qui respire.

Ancien camarade de classe de Satoru Gojo, ce type a pris un petit tournant dans sa vie — et quand je dis petit, je parle d’un virage à 360 degrés ! Il a décidé d’entamer une petite croisade pour sauver le monde… enfin, du moins pour le sauver de tous les « non-exorcistes », qu’il méprise à un point qui frôle le niveau universitaire.

2. Un Exorciste Déchu

À un moment donné de sa vie, Suguru était un exorciste de classe S. Imaginez un peu, pensez-vous que c’est le genre de personne qui râlerait derrière un écran d’ordinateur après une mauvaise journée au travail ? Eh bien non. Au lieu de cela, il a commencé à créer des fléaux comme un boulanger avec une passion inexplicable pour les croissants.

Il se considérait comme le sauveur des « maîtres des fléaux » en devenue, son attitude se transformant lentement en celle d’un gourou un peu trop impliqué dans ses cultes. Une erreur de parcours après l’autre, et voilà notre Suguru, un homme avec une mission divine : annihiler tout non-exorciste.

3. La Nuit Sombre de Massacres

Oui, vous avez bien lu. Un beau jour, Suguru a décidé que la gentillesse n’était pas sa tasse de thé. Imaginez une fête de famille où il était censé apporter le dessert, mais a plutôt débarqué avec un couteau et des intentions mortelles. Ce cher Suguru a massacré une centaine de civils, y compris ses propres parents. Vraiment sympathique, non ?

Cela a sans doute commencé à poser quelques problèmes au sein de sa famille lors des repas du dimanche. On peut dire qu’il a pris « rentrer à la maison » littéralement. Mais bon, au diable la morale ! Pour lui, l’éradication de l’humanité était le prix à payer pour bâtir un paradis — une idée que même la dernière tentation de Jésus doit apprécier avec un soupçon d’ironie.

4. Peut-on parler de style ?

Une fois que vous avez décollé de toutes les atrocités, parlons de l’apparence ! Suguru est un homme grand (en gros, vous avez besoin de trouver une échelle pour lui parler), avec de longs cheveux noirs qui tombent comme s’il venait tout juste de sortir d’une séance photo d’un magazine de mode pour les exorcistes. Et ne me lancez même pas sur son uniforme scolaire avec ses pantalons baggy — qui a dit que le style ne pouvait pas être létal ?

Au fil du temps, sa transpiration de moine bouddhiste a pris le pas, prouvant qu’il a réellement réfléchi sur ce que signifie être un « maître des fléaux ». Son nouveau combo de vêtements était une tenue de moine, un mélange de couleurs qui semble crier « regardez-moi je suis un gourou et je ne plaisante pas avec les fléaux !”. Un vrai fashionista meurtrier !

5. L’Une des Personnalités Les Plus Complexes

Ah, Suguru, ce mélange informe de charme, de dégoût, et d’un soupçon de psychopathie. Notre bonhomme est un peu comme un bon vin : plus on le laisse vieillir, plus les arômes deviennent intenses. De l’arrogance à la modestie, parfois on ne sait pas si on parle à un roi ou à la voix de la raison.

S’il est souvent vu comme le fauteur de troubles, il se préoccupe réellement de ses camarades. Une vraie petite “mère poule” dans le monde des fléaux. Il peut sembler prêt à réduire la population de non-exorcistes, mais au fond, il voit ses commandants comme sa famille ! Merveilleux, n’est-ce pas ? Un tueur en série avec un cœur.

6. L’Ami d’Autrefois, l’Ennemi d’Aujourd’hui

La relation entre Suguru et Satoru Gojo est digne d’une série à suspense. Ils ont commencé comme de simples camarades dans une école d’exorcisme, se tirant dans les bras comme des héros de bande dessinée, avant de prendre un virage abrupt vers le côté obscur. Imaginez des années d’amitié, des blagues sur le dos des enseignants, et puis, bam ! un massacre, et voilà la célèbre rupture.

Cette rupture a transformé leur relation, Suguru devenant l’exécuteur et Satoru le jeune homme qui tente désespérément de rétablir l’ordre. On pourrait dire qu’ils maîtrisent un langage très, très différent.

7. La Parade des Fléaux – Toujours à l’Affiche

Rien ne dit « je suis un méchant » comme planifier une grand-messe de désastre ! Suguru a orchestré la Parade des Fléaux comme un chef d’orchestre à l’apogée d’un concert. Préparez-vous, car son gros plan consistait à semer chaos et destruction à Shinjuku et Kyoto. Oui, oui, même le Japon devait se mettre à jour pour du fan service avec cette extravagance !

On le voit faire appel à ses puissants amis fléaux comme on appellerait des collègues pour une soirée pizza. Il a eu des soirées d’Halloween que vous n’êtes pas prêts d’oublier !

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8. Une Vision Complètement Délirante du Monde

Ah, ce cher Suguru a une “idéologie” troublante — à savoir que les non-exorcistes doivent être éliminés pour le bien de l’humanité ! Oui, les exorcistes sont, selon lui, la race supérieure. Vous imaginez un monde sans humains normaux ? Ça ressemblerait à une mauvaise pub pour une nouvelle réalité virtuelle.

Ceux qui pensent que les exorcistes sont là pour défendre les innocents ? Malheureux ! Pour Suguru, ils ne sont rien d’autre que de “vulgaires primates” qui méritent d’être évincés pour construire son idyllique royaume des fléaux. N’est-ce pas là une vision rafraîchissante sur l’humanité ?

9. Un Héros, ou pas si Héros ?

Il serait facile de réduire Suguru à l’image classique d’un méchant sans âme, un vilain à moustache. Cependant, son personnage est bien plus nuancé. Au début, Suguru croyait réellement à la protection des faibles, ce qui est en totale contradiction avec ce qu’il est devenu. Sa plongée dans le côté obscur commence avec la mort tragique de Riko Amanai, alors qu’il a réalisé que les exorcistes doivent sacrifier leurs vies pour les humains en dépit du fait que ces derniers sont, en réalité, les créateurs des fléaux.

On pourrait dire qu’il est devenu le Joker de l’univers des exorcistes — un débile total avec un semblant d’idéal. Pas que la comparaison avec Batman ne vous fasse grincer des dents, mais il est apparemment aussi désillusionné et torve que l’ennemi du Chevalier Noir.

10. Une Fin Tragique Sur le Chemin de la Rédemption

En fin de compte, Suguru est un homme aux prises avec ses propres démons, n’est-ce pas ? Sa quête pour un monde parfait est à la fois tragique et ridicule. En tentant de réaliser un idéal dévoyé, il n’a fait qu’engendrer encore plus de souffrance. Ce n’est qu’à travers le prisme de sa fin tragique que nous pouvons vraiment l’apprécier : le bon vieux jeu du yin et du yang, mais avec des fléaux volants comme décor.

Et en ce qui concerne la fin de son histoire dans Jujutsu Kaisen, on dirait que notre sourire tragique en sombrera toujours dans l’ombre des remords. Satoru Gojo avait raison : la lutte entre le bien et le mal est souvent cachée derrière les motivations individuelles qui façonnent chaque personnage. Et Suguru Geto est sans doute l’un des exemples les plus fascinants de cette lutte.

Voilà donc, 10 choses à savoir sur Suguru Geto ! Comme quoi, un vrai méchant a toujours deux faces. Quel personnage, cette série, n’est-ce pas ? Alors, que nous réserve la suite ? Qui sait, peut-être une rédemption ? Ou alors juste plus de chaos, parce que… c’est Jujutsu Kaisen après tout, et on sait à quel point ils adorent le drame !

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Written by Dieter B.

Journaliste passionné de nouvelles technologies. Dieter est le rédacteur en chef de Reviews. Auparavant, il était rédacteur chez Forbes.

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